

Je me déplace avec un carnet Kokuyo Soft Ring (Présenté par o1984) et un Kaweko Brass, encré de Sailor Miruai, une encre à l'excellente fluidité.
L'été dernier, ce stylo plume m'accompagnait avec bonheur, essentiellement, je le reconnais, aux terrasses de cafés.
(Ecrire en terrasse, un plaisir simple.)
Les choses étant ce qu’elles sont, je m’en sers beaucoup moins, désormais.


Résultat : les rares fois où j’en ai besoin, l’encre ayant séché dans le conduit, je dois dévisser le corps pour réamorcer le flux par pression.


Comme je suis pressé d’écrire quelque chose, que je n’ai pas nécessairement sur moi de quoi absorber l’excès d’encre sur la plume, c’est généralement la page de garde de cette excellent carnet qui encaisse … et mes doigts qui virent au vert.

Voilà, c'est ma contribution à la question du jour : faut-il vraiment avoir quelque chose à dire pour l'ouvrir ?
