El Lawrence (Noodler's) l'huile de vidange qui vient de loin

[Leibniz]

J'ai utilisé pour cette encre un stylo piston tout simple de la marque Dollar (Pakistan).



En plus de la couleur, cette encre a une odeur assez particulière qui rappelle d'une certaine manière l'huile de vidange.

Le flacon, il faut l'avouer a une étiquette qui est très belle et illustre très bien le personnage comme vous pouvez le voir ici:

La carte rappelant le travail qu'effectuait T.E. Lawrence


L'homme et sa moto (après la guerre)


Le port d'Aqaba (la bataille Aqaba qu'on retrouve dans le film Lawrence d'Arabie).

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Celle-ci me rappelle un peu la Montblanc Racing green, avec un peu plus de brun peut-être si le scan est juste. La parenté avec l'huile de vidange est bien vue ! Vous vous en servez beaucoup ? C'est une couleur vraiment intéressante.

Jimmy

[Leibniz]

Ce qui est amusant c'est qu'en faisant l’essai, je me suis rendu compte que ce vert et le yama-guri toutes deux étaient très proches dans les tons, et selon l’éclairage on pourrait les confondre.

Je ne l'utilise pas tous les jours, mais c'est une encre agréable. Je n'ai pas encore vraiment trouvé de stylo qui lui convient vraiment. Du coup, je l'utilise de temps en temps avec un piston pas cher de chez Dollar.

Ça devient dur entre les encres et les stylos de suivre les besoins. Plus il y a d'encres, plus il y a de stylos... Et plus il y a de stylos etc...

[Bluebird]

ou je l'aime beaucoup celle-là .... , merci Leibniz ... elle me paraît un brin plus claire que Yama-guri , mais seul vous savez, puisque vous avez les deux ...

je dois dire aussi que j'aime bien le flacon rigolo qui sent bon le sable chaud ...


Re.

je regarde encore .. c'est vrai qu'elle ressemble quand même furieusement à Yama-guri ..

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Je viens de recevoir un flacon de Yama-guri, je n'en connaissais jusque-là en réalité que les quelques mots écrits par Patricia. Je comprends mieux ce que dit Leibniz : sur du papier blanc, avec une plume moyenne, il y a effectivement quelque chose qui rappelle un peu le scan de l'El Lawrence, laquelle semble tout de même nettement verte, quelque chose qu'on ne voit pas sur le papier ivoire sur lequel étaient écrits les mots que j'ai reçus. Une nuance à peine perceptible, difficile à définir, une infime trace de vert peut-être.

Certaines encres aux couleurs indéfinissables - je me souviens qu'il y a longtemps, il y avait eu un fil à ce sujet - ont un charme, un attrait tout particulier auquel je suis de plus en plus sensible.

Jimmy