L'encre est fournie dans une boîte en carton orange avec un petit livret (lequel était cependant absent d'une de mes boîtes). Elle se présente sous la forme d'un flacon cubique de 48mm de côté. J'ai été surpris par sa taille. Je m'attendais à un objet légèrement plus imposant. Cependant, malgré son faible volume relatif, il pèse son poids. Ne disposant d'aucun moyen de l'annoncer avec précision, je laisse cette tâche à celui qui fera la prochaine revue. Le flacon est sobre, marqué uniquement du logo en forme de bateau, de l'inscription « JACQUES HERBIN » et dans une police plus réduite, à la ligne « PARIS - 1670 ». Le choix de la date de fondation vient contredire donc l'usage du nom de l'arrière-petit-fils alors que la marque a pourtant déjà usé de la date 1798 ! Le nom de la couleur ainsi que la mention « Les encres essentielles» est collé en-dessous. J'ajoute « mal » collé, puisque l'étiquette d'un de mes flacons se fait déjà la malle par deux coins.

Au dos, une petite étiquette avec le numéro de série, l'adresse érectronique, l'indication de la contenance et la mention « Made in France ». Le bouchon quant à lui reçoit l'inscription « LES ESSENTIELLES » et, contrairement à ce qu'indique ma photographie, est du noir le plus sobre.

Le verre du cul du flacon est inscrit » JACQUES HERBIN » et « PARIS », dans un cercle au centre duquel figure un voilier. Plus important, le cul du flacon est particulièrement lisse et le flacon est donc probablement propice aux glissades « marche de l'empereur ».
Deux photographies pour apprécier la comparaison avec d'autres flacons.


Le goulot m'a semblé particulièrement petit. Il est en fait de taille similaire à celui des flacons J. Herbin.

Cela fait beaucoup pour le flacon, je n'y reviendrai pas pour les trois autres. Je n'en oublie pas l'encre elle-même et c'est d'ailleurs pour cela que je vous conseille de jeter un œil à la revue de senzen. Je me pernets, une nouvelle fois d'insérer des images grand format. Je les réduirai, si nécessaire. Par ailleurs, impossible de placer la première image à la verticale. J'essaierais éventiellement de corriger cela durant la journée.





J'espère que les dernnières photographies permettent de se faire une idée de la couleur attendue grâce aux quelques mots qui sont plus clairs par manque d'encre. Avec le temps, la teinte semble toutefois s'éclaircir un peu. Le texte en anglais avait cependant pas loin de 24h au moment de la prise. J'essaierai peut-être de faire une nouvelle prise si le soleil est de sortie dans les prochains jours. Les images ne permettent pas nécessairement de s'en rendre compte mais le papier a diffusé un peu. J'imagine que c'était inévitable, du fait de la quantité d'encre déposée. Le temps de séchage a également peu de valeur pour cette raison.
Compte-tenu du résultat que je constatais (et de la trop faible palette d'encre que j'ai pu tester), je me suis abstenu d'établir des comparaisons. Un échantillon devrait cependant partir skier avec les premières neiges.
Mea culpa encore pour la qualité de la revue.
Chère lectrice, cher lecteur, je te souhaite une excellente journée.