D'ailleurs, au passage, merci à lui. La communication privée fut très agréable.
Quand je l'avais vu en photo, j'avais immédiatement flashé dessus. J'avais hésité car la plume était en M, ce qui était trop gros pour moi et j'avais préféré acquérir le Sailor Sapporo en EF.
Mais ma femme l'a vu aussi et l'a beaucoup aimé. Elle aime les objets en alu brossé. Du coup j'ai décidé de ne pas le laisser passer en me disant que je le regretterai plus tard. Je l'offrirai à son anniversaire début décembre, d'autant plus qu'elle a décidé de reprendre l'écriture d'un journal perso. Ne lui dites pas, hein !
La boîte est originale, c'est un premier bon point. Celle de mon Sailor était en tous points la même que celle du Waterman Carene.
Le stylo est neuf, sec, pas d'encre. Je monte immédiatement la cartouche fournie. Elle est d'un format spécifique, je pense que ma femme utilisera de l'encre en bouteille, d'autant plus qu'elle écrit en violet.
Le stylo est petit sans le capuchon. Sa ligne est vraiment pure, un design vraiment parfait. C'est vraiment un travail de designer japonais moderne comme je l'aime.
L'encre a un peu du mal à venir. En regardant de près, je suis surpris de constater un jeu très fin entre les deux becs de la plume. Je pense tout d'abord à un défaut. puis l'encre finit par arriver et le stylo écrit sans problème.
Du coup, je me demande si tous les stylos ont un jeu entre les becs de plume ?
Le trait est un peu épais pour moi et le papier du Moleskine le boit en faisant buvard. Par contre, l'écriture est meilleure sur du papier de photocopie 80g/m².
J'espère qu'il plaira à ma femme.
Sinon, le toucher est agréable, pas si "savonette" que ça. J'apprécie aussi le poids de l'outil dans ma main.
Il est indispensable pour moi de remettre le grand capuchon au cul du stylo pour pouvoir écrire. Cela l'allonge et permet une meilleure prise en main.
La bruit de fermeture du capuchon est aussi assez satisfaisant.
Enfin, je dois dire que la touche finale donnée par la petite pierre bleue au sommet du capuchon est très sympa pour casser l'unicité du corps métallique.




