www.stylo-plume.org

Ce sont les mêmes cartouches pour les 3 types de Capless (normal, Décimo et Fermo).

De plus, les cartouches contiennent plus d'encre que les convertisseurs, donc préférable pour une utilisation en salle de profs.

Au niveau plume, pour avoir les deux, je prendrais plutôt la fine que la moyenne.

+1 : cartouche assez confortable en volume, plume M assez large ( mais pas désagréable, loin de là!)
!

J'ai un beau-frère hérétique qui a (presque) toujours écrit au bic.
Je lui ai offert un Capless pour ses 63 ans, alors qu'il prenait sa retraite. Il n'écrit plus qu'avec lui, et utilise le convertisseur.

bebe a écrit :J'ai un beau-frère hérétique qui a (presque) toujours écrit au bic.
Je lui ai offert un Capless pour ses 63 ans, alors qu'il prenait sa retraite. Il n'écrit plus qu'avec lui, et utilise le convertisseur.

Parce que tu l'as converti ????

Sinon :

outremerBIS a écrit :plume M assez large ( mais pas désagréable, loin de là!);)!

Assez large ? Sans doute ai-je trop l'habitude des plumes larges : la M me paraît plus que correcte pour une M. Disons large pour une plume japonaise... mais pas tant que cela. Mais ce petit swing propre au Capless est très plaisant...

Tout ceci est bel et bon, mais je ne saurais trop conseiller, désormais, un outil plus simple, plus efficace et moins onéreux :



Ou, pour être un peu plus élitiste:



Parce qu'avec la suppression des notes et leur éventuel remplacement par des ronds de couleurs, un capless risque de ne pas suffire !

Foscari a écrit :Tout ceci est bel et bon, mais je ne saurais trop conseiller, désormais, un outil plus simple, plus efficace et moins onéreux :



Ou, pour être un peu plus élitiste:



Parce qu'avec la suppression des notes et leur éventuel remplacement par des ronds de couleurs, un capless risque de ne pas suffire !

Il n'a pas été précisé que les ronds devaient être coloriés, si?

Si Si : Vert (c'est bien !), Orange ou Jaune (c'est bof !), Rouge (c'est très très mal, bou !). Faudra réviser les quatre couleurs pour faire figurer l'orange, ou investir dans le méga modèle:



Ou mieux, pour avoir l'air encore plus gnangnan... Pardon, """"BIENVEILLANT""""

Tu as une étrange notion de la bienveillance...

Foscari a écrit :Si Si : Vert (c'est bien !), Orange ou Jaune (c'est bof !), Rouge (c'est très très mal, bou !). Faudra réviser les quatre couleurs pour faire figurer l'orange, ou investir dans le méga modèle:

....

C'est pas pédagogique, c'est même pas dans l'ordre des couleurs du spectre, (les couleurs de l'arc en ciel).

A moins de 100 euros, une garde-robe de Lamy Safari, avec des couleurs différentes ainsi qu'un nuancier d'encres allant du rose au carmin

Tu as une étrange notion de la bienveillance...

En fait, c'est surtout que l'expression "notation bienveillante" est une pure absurdité, comme l'expression "parent d'élève" dans un autre registre. Chiffrée, coloriée, clignotante et rutilante, une notation est une sanction, dans le positif comme dans le négatif. Non, ce qui se DOIT d'être bienveillante, c'est l'appréciation ou l'explication de ladite note. Il ne sert à rien d'humilier un élève en lui jetant son 5/20 au visage comme d'en encenser un autre en jubilant de lui remettre un 18 ou un 19 sans autre forme de "procès". Dans tous les cas, il faut justifier, détailler, expliciter l'attribution de telle ou telle note. Or, pour ce faire, il faut de la place et surtout il faut du temps, ce qui est aujourd'hui quasiment impossible dans le secondaire (sans compter la nature des devoirs qui ressemblent de plus en plus à des QCM...). Pour être "bienveillant", il faut avoir du temps, et accessoirement un stylo bien fiable pour rédiger les appréciations... N'oublions pas les fondamentaux !!!

D'accord, je comprends mieux tes guillemets initiaux alors ! Je tiens pour ma part tout particulièrement à la bienveillance, et je prends le temps qu'il faut pour cela - sans besoin d'aucune injonction rectorale (avec toutes ses syllabes). Sans oublier bien sûr LE bon stylo sans quoi rien n'est possible...

Goélande a écrit :D'accord, je comprends mieux tes guillemets initiaux alors ! Je tiens pour ma part tout particulièrement à la bienveillance, et je prends le temps qu'il faut pour cela - sans besoin d'aucune injonction rectorale (avec toutes ses syllabes). Sans oublier bien sûr LE bon stylo sans quoi rien n'est possible...

Tout pareil, même si cela prend du temps d'annoter et commenter : je varie les stylos à l'encre rouge pour cela : cela tourne même parfois au plaisir ....

D'accord, je comprends mieux tes guillemets initiaux alors ! Je tiens pour ma part tout particulièrement à la bienveillance, et je prends le temps qu'il faut pour cela - sans besoin d'aucune injonction rectorale (avec toutes ses syllabes). Sans oublier bien sûr LE bon stylo sans quoi rien n'est possible...

Tout pareil, même si cela prend du temps d'annoter et commenter : je varie les stylos à l'encre rouge pour cela : cela tourne même parfois au plaisir ....

Et bien évidemment, vous l'avez compris, je vous rejoins parfaitement, y compris dans le plaisir que je prends également à varier les encres et les tailles de plume (le justus est pas mal du tout pour cet exercice !). Mais cela n'ôte malheureusement rien au fait que nous appartiendrons de plus en plus à une "espèce en voie de disparition", que les notes chiffrées soient maintenues ou non. Je crains en effet que les grilles explicatives extrêmement sophistiquées (certaines circulent déjà en catimini) sur lesquelles s'appuieront les codes couleurs ne conduisent au final à la disparition des appréciations (puisqu'il suffira de se reporter aux grilles susmentionnées), tandis qu'un maintien des notes chiffrées (ou alphabétiques, peu importe ici) n'abolira pas sinon le hasard, du moins la disparition progressive des annotations manuscrites, faute de temps. Il y a plusieurs années déjà, lors d'un passage-éclair et volontaire dans le secondaire, une majorité de collègues (je tairai les établissements et l'académie, mais ce n'était pas Créteil, Versailles, ou disons une académie réputée pour ses classes surchargées et éventuellement turbulentes) se limitaient à un simple mot pour légitimer la note. Et je pourrais également évoquer la réflexion systématique de plusieurs de mes collègues du supérieur (au sens large, j'en exclus les collègues de l'université où j'enseigne actuellement et dont je loue chaque jour la sympathie, la compétence et précisément la bienveillance - sauf un, mais il en faut toujours un -) qui s'étonnent de voire critiquent ma tendance à écrire parfois une page de commentaire, sous prétexte que la copie (de partiel) ne sera pas obligatoirement rendue... Certes, mais si l'étudiant(e) veut la voir ? Dans le bon comme dans le mauvais, chaque étudiant(e) a le droit et même le devoir de savoir ce qui a fonctionné et/ou ce qui n'a pas été pertinent, dans la forme comme dans le fond. Et il a également le droit de solliciter en plus un rdv avec l'enseignant pour approfondir la question. Entendons nous bien, je ne donne pas de leçons, je n'ai pas ce genre de prétention. Je ne fais, une fois encore, que rappeler les fondamentaux. Nous faisons, du primaire à l'Université, un beau métier. Faisons en sorte qu'il le reste, en dépit des injonctions rectorales et ministérielles parfois (souvent ?) déconnectées des réalités.

Et puis au passage, je ne crois même pas être hors-sujet en écrivant tout cela, ne faisons-nous pas partie d'une des rares professions où l'usage du stylo est encore systématique ????

J'entendais cette semaine un ex-Ministre, qui expliquait que les notes (que ce soit chiffrées comme en France ou sous forme de lettre comme dans beaucoup d'autres pays) avaient au moins le mérite de permettre à l'élève de s'auto-évaluer : ce qui est valable pour le bon élève comme pour le moins bon. Autant il est bon que l'élève qui a une note basse sache qu'il devrait travailler un peu plus, autant il est également bon que l'élève qui a une note élevée sache qu'il a bien travaillé. L'appréciation va également dans ce même sens : indiquer les pistes de progrès. L'inconvénient du système de couleurs est que cette auto-évaluation sera beaucoup plus difficile : il s'ensuit que l'appréciation deviendrait de fait prépondérante. Si elle est bâclée, cela perd tout intérêt...

Georges, un avis ???

jva a écrit :Georges, un avis ???

Je te rappelle que Georges s'est déjà exprimé sur le sujet : depuis 98, le bac ne vaut plus rien.

PS : j'ai de la chance, je l'ai passé avant.