Loucques a écrit :Ce qui me rappelle cette anecdote : Toscanini assistait un jour, à Bayreuth, à une répétition de Tristan et Isolde dirigée par Furtwängler avec sa manière, lente et torturée. A un moment Toscanini se tourne vers son voisin de chaise et lui glisse à l'oreille "Ces Allemands quand même ! Le temps qu'ils mettent à se dire je t'aime, nous italiens, avons déjà fait dix enfants !"
Je sais, je

Oh ben non , pas tout de suite !
... Essayez Hermann Scherchen / Le Wiener Sinfoniker , vieille version de 1950 :
Anton Dermota dans le
Benedictus.... Ah misere de misère !
Suis pas très fort pour les blagues mais celle la , racontée par Michel Leebb...

( Avec la voix et à la manière de Jean d’Ormesson )
Mozart et Bach se retrouvent au paradis des musiciens, et, n'est-ce pas, ils décident de finir la soirée au "Bar du Paradis des musiciens" ; le garçon s'approche :
« Bonsoir Monsieur Bach, qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?... »
Bach après avoir réfléchi quelques secondes :
« Eh bien garçon apportez moi un peu de cet excellent whisky que m'a fait découvrir Miles Davis l'autre soir ; mais alors juste un "Baby", j'ai un peu forcé sur la bière aujourd'hui et... bon ! »
« Bien Monsieur Bach, je vous apporte ça tout de suite ; et vous Mozart ? Qu'est-ce que je vous sers ? »
Et là, n'est-ce pas, Mozart a cette réponse qui moi, n'est-ce pas, me pulvérise de rire : il dit au garçon :
« Eh bien garçon, pour moi ce sera un "Baby" comme Bach ! »
( Désolé pour ceux qui la connaissait déja !)