Je crois que la plume en général impose à certains un temps d'adaptation. Plus jeune, j'avais plusieurs fois essayé de me mettre aux stylos-plume, mais ils passaient plus de temps dans la trousse qu'autre chose, j'avais tristement fini par croire que cet instrument n'était pas fait pour moi. Pourtant j'étais motivé parce que j'aimais bien ce que renvoyaient ceux qui l'utilisaient, ça me fascinait. C'était par exemple le cas de mon Waterman Lauréat que j'avais acheté pour mes cours de formations qui marquaient mon entrée dans la vie active, et qui a dû écrire la valeur de 3 cartouches sur plus de deux décennies.
Aujourd'hui, j'aime bien écrire avec. L'engin est enfin amorti, 25 ans après son achat !

Je crois que c'était ma façon d'écrire qui n'était pas appropriée pour la plume. C'est surement encore plus vrai avec des plumes spéciales.
Pilot est décidément pour vous une grande source d'inspiration , ça me rappelle une histoire de faux départ qui m'avait fait bien rire...
