A noter que l’essentiel de l’historique a été compilée par un auteur norvégien, mon apport n’est qu’une synthèse traduite à partir de ce lien : https://pennenermektigere.no/norsk-penn ... brikk-pan/.
Je recommande le détour, ne fusse que pour les nombreuses photos.
« L'histoire commence début des années 30 mais il n'est pas certain si la "Fabrique de stylo-plume norvégienne" (Den norske fyllepennfabrikk) produisait, assemblait ou importait initialement ses premiers modèles Pan. Les publicités vantent cependant une fabrication norvégienne à partir de la fin des années 30. La production fut arrêtée/ralentie pendant la guerre et repris en 1945 pour atteindre son apogée au cours des années 50. Les stylos en celluloïde étaient alors tournés à la main, les plumes fabriquées par Bock et frappées du logo Oppi.
Par la suite, la demande devenant moindre à partir des années 60, la marque se tourne vers le marché scolaire. Les stylos deviennent plus démocratiques et sont assemblés à partir de pièces importées mais cela permet à la marque de survivre au moins jusqu’au début des années 80. Il restait deux employés aux effectifs en 1982, ce qui laisse imaginer que la fin était proche.
Les plus belles réalisations sont donc des années 1950. La numérotation des modèles de cette époque fait initialement référence à leur prix de vente (pour les Pan 27, 35, 40 ou 45, respectivement 27kr, 35kr, etc) puis à leur année de production (Pan 52 et 53 de 1952 et 1953 par exemple), s’ajoutant par après des modèles Junior, Senior ou Diplomat. La majorité de ces modèles sont à bouton-poussoir, le piston faisant sont arrivée début des années 1960. »
Je n’ai que peu d’expérience en la matière mais les stylos des années 50 sont de bonne facture, agréable d’utilisation et dans des celluloides colorés classiques pour l’époque.
Pour ma part je ne peux en présenter qu’un (pour l’instant…), un Pan 35.

(Oui oui, je vais travailler sur mes compositions, la lumière, le fond et tout et tout

Il est un peu diminué pour l’instant et extrêmement sec au démarrage mais ça peut peut-être se comprendre vu ce qu’il lui reste de sac…

