
Mon protocole :
- une même encre pour tous les stylos et tous les grammages de papier : j'ai choisi la Pelikan Edelstein Aquamarine qui est une encre sans problème, convenant à toutes mes plumes jusqu'à présent.
- 5 stylo-plumes choisis pour la taille de leur plume, donc 5 tailles de plume :
- PLATINUM (modèle octogonal déjà montré sur fil "papier bible") en plume EF
- PELIKAN 140 (vintage donc, plume or 14 c) en plume F
- PELIKAN M 120 Edition 2016 en plume M (merci Cari

- PELIKAN M 250 (NS) en plume OM
- PELIKAN 400 (vintage "tortoise brown") en plume OBB
- 6 feuilles de papier choisies de poids différents de 54g/m² à 27.9 g/m² . La feuille de référence à 60 g/m² est le papier OFFICE essentiel ligné (pas de fougérisation, de traversée en épaisseur, peu de transparence au verso) = Photo 1
Présentés à l'image dans l'ordre décroissant de poids :
- SAKAMOTO P.I kin kaku den super white 54g/ m²
- KOKUYO Thin paper 52 g/m²
- Smart Print 50 g/m²
- YAMAMOTO Onion Skin 40 g/m²
- MITSUBISHI Champion Copy 35 g/m²
- MITSUBISHI Type Writer 27.9 g/m²
La question est : comment vont se comporter ces plumes sur des papiers de plus en plus fins ?
J'ai choisi une citation courte et connue de Victor Hugo (

Photos : à chaque ligne : (recto et verso au dessous )








Résultats :
Comme vous pouvez le constater, même si la plume est large (je n'ai pas de B ou BB ou BBB) et plus juteuse, le papier retient l'encre (il y a un peu de bleedthrough pour la plume OBB sur le dernier de 27.9 g/m² mais à peine.
Ce qui est remarquable est l'absence complète de fougérisation quels que soient la plume et le débit d'encre.
J'ai personnellement retrouvé du plaisir avec mes plumes anciennes et obliques sur ces surfaces.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas ...
Je rajoute deux photos de près des papiers de 52 g/m² et du 40g/m²

