Version courte: le nombre de stylos dépend du nombre d'encres: à présent 59 pour 37.
Version plus longue:
Pour moi c'est une question d'encres, leurs couleurs et quels stylos pourraient mieux les produire de façon consistente; j'ai recommencé avec plusieurs
Lamy Vista et
Muji, sauf qu'ils sèchent un peu vite, les couleurs deviennent plus foncées, sans parler de la consommation de l'encre; erreur de néophyte!
Commence donc petit à petit l'essai de modèles de gamme moyenne, les
Lamy Studio et
Pelikan M205 m'offrent ce que je cherchais, m'aident à mieux apprécier mes premiers stylos,
M600 et
Man 100, et à comprendre comment deux
Parker Sonnet ont gâché mon premier essai.
Je me lance sur un stylo "cher", en l'occurrence un
Sailor Professional Gear H-M en direct du Japon, sans essai préalable: avec une petite manipulation pour qu'il mouille mieux, c'est proche de la perfection pour Tsuyu Kusa; ce qui en passant marque mon budget maximum: $160 USD; bien que ma préference est de dépenser beaucoup moins, entre $50-$100; ce qui s'avère possible quand on a le temps et la patience. Seule excéption:
M605 en bleu uni.
À partir de là je me lance sur des classiques modernes, tels les
Parker 75 (qui pourtant sèchent un peu aussi),
Pilot 91 à plume SFM,
Rotring Renaissance, et quelques modèles plus éxotiques: un tout petit
Minerva 60 que les adeptes au flex apprécieraient,
Bayard Le 4, Perfecto Superior; lesquels marchent parfaitement avec Ama Iro, Vert de Gris, Melon Tea, Vert Empire, Aonibi. Je découvre les
Waterman Carène...

Bien sûr avec ce budget on a pas trop de choix pour la taille des plumes.
Puis je me laisse tenter par des modèles particuliers, ou des éditions limitées:
Pilot 912 WA, Sailor 1911S Mother Green, Professional Gear Midnight Sky, Pelikan M205 rouge, M120 Iconic Blue, Geha Goldschwinge. La pente devient de plus en plus raide: comment dire non à un
M205 Aquamarine ou Olivine? Douze Pelikan plus tard...
