Jusqu'à présent je n'ai toujours utilisé qu'une encre : la Delta brown. Celle-ci n'étant plus commercialisée, et le fond de mon encrier approchant à trop vive allure, j'ai eu envie de découvrir les belles encres que certains présentent ici.

Je suis parti sur l'Émeraude de Chivor, de Herbin. Malheureusement, le résultat sur le vélin que j'utilise pour ma correspondance fut désastreux (Amatruda 120 g).

J'ai ensuite tenté la Vert de gris, toujours de Herbin. C'est moins affreux, mais ça bave quand même. Cette fois-ci je l'avais commandé en échantillon pour ne pas gaspiller trop d'argent en cas de nouvel échec.

En revanche sur mon carnet (Dingbats 80g), aucun problème avec les deux. C'est vraiment propre au vélin, ou tout du moins, à celui-ci.
Petit retour de Jddegap qui a pu tester mon papier :
La question est : comment puis-je éviter ceci ? Comment distinguer une encre qui se comportera bien sur le vélin d'une qui bavera ? Est-ce que ça ne concerne que les encres Herbin ? Qu'est-ce qui différencie ces encres ? Pas vraiment envie d'acheter des dizaines de bouteilles avant de trouver la bonne. :(jddegap a écrit : ↑06 mai 2022 18:31[…]
A part l’Iroshizuku Ina-Ho qui a fougérisé avec la très large italique Aurora, je n’ai pas rencontré ce type de problème.
Ce que j’ai constaté, c’est que les couleurs pastels sont éteintes par l’absorption et qu’il vaut mieux utiliser ce papier avec des couleurs denses, sans espérer obtenir un joli shading.
A cette réserve près, les encres suivantes se sont bien comportées :
Edelstein Olivine et Aquamarine,
Sailor Manyo Kikyou et Konagi,
Rohrer et Klingner Salix.
[…]
D'avance merci pour vos réponses,
Pingouin.