J'ai toujours considéré que le noir était
forcément ( ? ) la teinte de l'écriture.
Je n'ai jamais changé d'opinion là dessus
Le bleu est plus 'souple" en interprétation, et certains bleus sont parfaitement lisibles. J'ai utilisé cette couleur pour ma correspondance avec mes amis, et avec celle qui est devenue mon épouse (depuis...ans). Mes notes de laboratoire, mes idées et autres notes de lecture étaient en noir.
Lorsque je teste un stylo, je prends habituellement une encre pas chère, mais de haute qualité : la Waterman. Mais comme ces derniers temps cette marque devient plus rare, c'est sa soeur Parker qui est amenée à prendre sa place.
Après avoir choisi la Noire d'Aurora et la bleue Tsuki Yo, tant pour leurs teintes que pour leur comportement dans mes plumes, J'ai découvert des encres compatibles avec mes soucis "d'archivabilité"
(Comme pour mes tirages argentiques, virés au sélénium après disparition complète du fixateur et super rinçage en eau controllée - et encres pigmentaires en tirages jet d'encre -
Ce souci de résistance au temps et aux "accidents" aléatoires s'est retrouvé dans mes notes écrites.
Je n'ai pratiquement jamais rencontré de problèmes de débit avec mes encres - tant "classiques" que "Bulletproofs", mes stylos étant réglés pour un débit généreux (= plus forte densité et donc lisibilité).
Comme Jpeg, Didier et bien d'autres, je m'efforce, lorsque la chose est possible, d'associer la couleur du stylo à celle de son encre (pas toujours évident comme moyen mnémotechnique quand on aime surtout les stylos...Noirs ! (n'est-ce pas, Hobie ?)
Merci Jérôme pour ce thème , qui nous donne à réfléchir dès potron minet, et le dimanche !