

Me voici donc une fois encore le jouet d’une violente passion ...

Cette fois-ci, l’élue de ma plume à pour joli prénom Olivine, Edelstein étant son nom de famille.
Ne vous fiez pas à son teint olivâtre, ombrageux, fier héritage méditerranéen. De sa famille germanique, elle a conservé pour qualités la rigueur et l’efficacité.

J’en termine ici avec le ton grandiloquent !

Mon scanner est absolument incapable de rendre la nuance de ce kaki/vert jaune.

C'est l'encre de l'année 2018, je ne sais pas si elle sera pérennisée.
Je vous montre juste des photographies prises au flash ainsi que quelques gros plan d’écritures avec le smartphone sous ma lampe de bureau ...
Je la trouve absolument parfaite en association avec le Pelikan M1000 noir et vert (M).
Les Pelikan sont connus pour leur réglage de débit conséquent, et c’est souvent avec les stylos-plume de la marque, ou ayant des caractéristiques identiques, que les encres de la collection Edelstein s’expriment le mieux, à mon humble avis. Souvent, la joliesse de leur coloris faisant double emploi avec des plumes un peu fades ; On le voit avec mes tests sur Tomoe River 52 gr/m², le rendu est totalement impersonnel avec la plume fude ou le Jinhao159.

Avec la plume soyeuse du M1000, la glisse ressentie sur papier couché est parfaite, le gabarit du stylo et sa grande plume souple et précise contribuent à garder le contrôle, nonobstant mes compétences et mon adresse.
Et puis, ce shading !



La feuille d'olivier, c'est moi qui l'a fait

