Tout dépend du sens accordé à cartouche....

Ou de l'utilisation que l'on en fait

OK je

Il existe une démo avec le convertisseur Platinum 500 (ICI), mais je ne sais si il s'adapte sur tous les brush pens. L'inconvénient de la cartouche est qu'il faut la retirer et la garder debout à chaque nettoyage de la brosse, c'est à dire après chaque emploi. Le convertisseur est donc plus pratique
Pour un usage scolaire, la cartouche est parfaite.quintus.1009 a écrit : ↑28 nov. 2019 07:46 Moi en temp que que lycéen je prend toujours des cartouches avec moi et j'ai un stylo avec converter pour si je tombe en panne sèche mais je trouve que les cartouches c'est pratique mais ça laisse moins de possibilités
Je suis du même avis que Grisemine.Grisemine a écrit : ↑28 nov. 2019 16:38 Comme d'autres ici je pense, j'ai "flashé" au départ sur les pistons, convertisseurs et autres pompes à vide. Mais avec le temps, j'en reviens.
Je trouve que la cartouche longue a une bonne capacité, est pratique, facile à remplir à la seringue, pas cher, et quand on a besoin d'encre "on the move" on percute une cartouche.
Je suis plutôt d'accord sur le point écologiqueShimaree a écrit : ↑17 nov. 2019 19:57 Comme Mirifix, je n'ai connu que les cartouches pendant... un paquet d'années (et dont je collectionnais d'ailleurs les petites billes quand j'étais au collège).
En 2012, je me suis PACSée en faisant une grande fête et en invitant pas mal de gens.
Le cousin dont je suis la plus proche, mais qui vit néanmoins au Mexique, m'a demandé ce qui me ferait plaisir comme cadeau, ce à quoi j'ai répondu "una pluma" (ce n'est pas un cadeau standard sur une liste de mariage, mais on avait déjà tout le confort nécessaire, et symboliquement, j'écrivais une nouvelle page de ma vie, enfin bref, sur le moment c'était évident).
Quand je lui ai fait cette demande, j'ignorais jusqu'au concept des convertisseurs... Mais quand il l'a entendue, pour lui, il était évident que je voulais un stylo à convertisseur... comme quoi, c'est rigolo parfois, la vie et la communication ! bref, il m'a offert un Sheaffer Intensity, accompagné d'un encrier de Sheaffer Blue-Black.
Je n'ai pas été séduite par la couleur de cette encre, mais j'ai été amusée par ce petit rituel. Et dans une perspective écologique - je ne veux pas ramener ici le débat qui a vu le jour autour du savon au fiel, disons juste que j'essaie de limiter mon impact sur mon environnement, tout en m'autorisant à vivre et à me faire plaisir - je trouve que ne pas utiliser de cartouches, ça a du sens.
J'aime le côte "totale liberté" du convertisseur : je peux mettre l'encre que je veux dans le stylo que je veux ! il faut juste que je prévoie 15 minutes pour bien le rincer![]()
Je ne suis pas la fille la plus adroite sur terre![]()
et suite à une manipulation de ce genre, j'ai souvent les doigts tâchés d'encre... Je me lave bien les mains, avec du savon (@ Silverado : mais sans pierre ponce, c'est bourrin, ça !
) mais elles restent colorées... et ça me va. J'ai de l'encre sur les mains
. J'en retire presque une forme de fierté. Je crois que si je croise quelqu'un avec de l'encre sur les mains, mon estime pour cette personne augmenterait, pas vous?
![]()
L'avantage que je vois au piston est que j'ai moins souvent besoin de faire le plein. Et si le stylo est un Pelikan, il y a une petite fenêtre translucide, et on peu voir l'encre aller et venir dans le stylo même fermé...
Je ne baroude pas beaucoup avec mes stylos... je ne fais le plein la plupart du temps que chez moi ou dans l'un de mes bureaux, et chacun de ces points de ravitaillement est équipé d'au moins un flacon d'encre. Mais lors d'une récente expédition dans le grand Sudj'ai emmené un petit flacon d'échantillon d'encre, que je trouve parfait pour un voyage court.
Ensuite, il y a peu, quand j'ai montré mes vieux stylos cassés et qu'il m'a été conseillé de les biberonner à la cartouche... je n'en ai eu aucune envie. Je trouve que les cartouches sont une période révolue de ma vie. Il pourrait d'ailleurs fort bien y avoir une forme de snobbisme dans mon attitude...![]()
Pour l'usure de la cartouche, je ne fais malheureusement pas la même expérience, avec les cartouches Waterman, tout du moins... et mon Waterman Carène. Celles-ci ont la fâcheuse tendance à se fendiller après quelques remplissages, et fuient à l'intérieur du stylo.... Je ne rencontre néanmoins pas de problème avec les cartouches de mon Pilot Capless qui semble plus robuste à ce petit jeu.LeBleu a écrit : ↑19 avr. 2020 14:40 De mon côté, j’ai plusieurs stylos plumes (Waterman, Dupont, Spalding, Luthier, Rotring) qui fonctionnent tous avec des cartouches. Pour les encrer, j’utilise toujours les mêmes cartouches, que je remplis avec différentes encres au gré de mes envies (j’ai de la Diamond, Noodler, Herbin, Waterman,…). Pour procéder, j’utilise simplement une seringue médicale à aiguille (le tout pour moins de 10€ à la pharmacie du coin). Et franchement cela fonctionne très bien. Quand une cartouche est vide, je la rince à l’eau tiède (l’aiguille permet d’aller jusqu’au fond de la cartouche pour ne laisser aucune trace ni résidu), puis je la remplis de nouveau avec l’encre désirée. Avantages: cartouches réutilisables à l’infini (usure quasi-nulle), rapide, très propre (je fais tout au dessus du lavabo et c’est nickel), changement d’encre sans problème (la seringue permet également de vider la cartouche très facilement). Je prépare aussi parfois des cartouches pré-remplies; pour les conserver, je les stocke verticalement, bouchées à la Patafix. Ça tient longtemps et ne sèche pas. Inconvénients: pour l’instant je n’en vois pas, mais cela pourrait venir le jour où j’achèterai des stylos n’acceptant pas les cartouches…
Oui, mais non.
Ton message s'est télescopé avec le mien.
Oui, on a écrit plus ou moins la même chose au même moment.
Nous n’avons peut-être pas les mêmes fréquences de remplissage, c’est certain.
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