
(Toutes les photos sont prises au smartphone.

Après la vidéo de Nickko, qui me dispense de vous décrire l’opération de remplissage, je vous propose une petite revue de ce stylo que j’ai emporté à mon travail, après l’avoir encré de Parker Quinck Blue Black, une jolie encre un peu sèche, que j’ai ensuite remplacée avec bonheur par de l’Iroshizuku Shin-Kai.


Il est beaucoup plus grand que je ne l’aurais pensé, et sa section conique, d’un diamètre allant de 10 à 13 mm, permet de le tenir comme on le désire.



L’enclipsage du capuchon est bien pensé.
Par rapport à « moyenne gamme », que veut-on signifier en qualifiant un stylo-plume de « bas de gamme » ?
Qu’il n’est pas cher ou que c’est de la camelote ?
Faut-il pour autant le réserver aux générations qui fréquentent les classes de 6e ?

Je suis heureusement surpris par la qualité de fabrication de ce TWSBI GO Smoke B, qui assume son prix : système de remplissage à ressort avec lequel j’ai mesuré une contenance d’un bon millilitre, au lieu d’un pas de vis sophistiqué, plastique épais et tendre, translucide mais moyennement transparent, d’un contact agréable.

Esthétiquement, je trouve que cela fait design industriel, tout en conservant une apparence modeste qui peut avoir de l’intérêt sur un lieu de travail.
Le système de remplissage à gros ressort ne me dérange pas : c’est effectivement ultra simple avec une qualité de fabrication qui me paraît plutôt sérieuse.
Par contre, la manipulation, (comme une seringue), n’est pas adaptée au flacon dont le niveau commence à baisser ; prévoir un système comme ceux-ci :
INK MISER
ERKA