J’ai plus ou moins oublié tout cela durant 50 ans, puis notre centre d’intérêt à tous à ravivé mes souvenirs, et je suis désormais en capacité d’invoquer de nombreuses réminiscences d’écriture à la plume.
Je crois maintenant me rappeler d’ exercices de calligraphie où, sur une réglure séyes, il convenait (?) de remonter le "t" jusqu’à la seconde ligne alors que le "l" se devait d’aller jusqu’à deux lignes et demie.
Je me souviens également de tâches et de buvards, et de traversées de feuille inopinées.
Franchement, j’imagine que pour n’importe quel enfant, ces exercices sont rébarbatifs. Pourtant, en y repensant avec nostalgie, l’impression dominante est celle d’agréables souvenirs.
J'énoncerais en profane que notre esprit est ainsi conçu qu’il évacue l’effort, la difficulté, la souffrance, la douleur, ... exetera, de nos souvenirs.
Je viens d’entendre par hasard un extrait d'émission où l’on nous expliquait que notre système endocanabinoïde se charge d’effacer les éléments nocifs à notre développement émotionnel ; Ce serait pourquoi nous gardons un souvenir merveilleux de notre petite enfance.
[video]https://youtu.be/tio9euVdtiI[/video]
