Selon ce que j’ai appris le point de fusion es de 500º C, c’est a dire beaucoup plus bas que celui de l’argent (800º C), et a cause de ca pour l’intégrer a l’argent il faut graver une rainure pour l’insertion et avec un chalumeau, où même dans un four, la remplir avec du nielle liquide
Procès délicat ! Il faut le faire, évidemment, sur le recouvrement avant de l’intégrer au stylo.
Malgré l’aspect délicat je n’ai jamais vu un seau de registre de ceux qui le produisent comme c’est le cas avec l’argent.
Il parait qu’une des choses les plus difficiles c’est de trouver deux pièces en nielle dont la formule serait égale dans une même marque de stylos, sauf si réalisée par un seul atelier, et encore.
Devant la difficulté de réparer un nielle en mauvais état je l’ai trouvé plutôt remplacé avec de l’email, mais de toute façons le nielle est considéré comme une espèce d’email.
Selon les informations trouvées jusqu'à maintenant l’alliage serait d’origine égyptienne arrivée en Europe vers la fin de l’âge du fer et c’était courant entre les Anglo–Saxons et les Celtes ainsi que d’autres joailliers médiévaux. On parle aussi, souvent, des travaux faits en Florence au XV siècle avec un burin mais dans lesquelles la formule n’incluait pas du cuivre.
Dans mon expérience il s’agit d’un des alliages les plus recherches par les collectionneurs de stylos avec recouvrement en métal, a coté du Toledo bien sur…
Voici quelques Kaweco safety en argent avec des insertions en nielle. Je suis sur que quelqu’un ici nous apportera d’autres données…



