J’ai glané quelques infos sur le web pour vous le présenter car ce n’est pas qu’un morceau de cèdre d’une exploitation quelconque.
L’île de YAKUSUGI possède des propriétés géographiques qui favorisent la longévité des cèdres qui habituellement dépassent rarement les 500 ans. Là bas, ils dépassent allègrement les 1000 ans. Ce sont ceux là qu’on appelle les cèdres YAKUSUGI. Les propriétés granitiques du sol nutritionnellement pauvre provoquent une croissance lente et un grain très serré du bois.
Ils sont actuellement protégés de toute exploitation depuis la période Meiji (1868-1912) mais pendant la période d’Edo (1603-1868), ils ont été largement utilisés dans l’architecture.
Les cèdres qui sont employés aujourd’hui dans divers produits (souvenirs et autres stylos) proviennent d’arbres abattus par les typhons ou d’anciennes réserves. Ils atteignent souvent l’âge de 3000 ans.
Voilà pour le cadre.
Venons en au stylo lui-même.

Il a fallu plus d’un mois pour le voir arriver sur mon bureau (par Engeika ; à l’époque, je ne connaissais pas Olivier Vidal). Il semble que Platinum n’est pas de stock ; il est donc fabriqué à la demande.
Mais cela valait le coup. La teinte claire et les nuances délicates des noeuds selon l’exposition à la lumière sont magnifiques. Les photos n’en rendent pas justice.

Il est très léger et mesure 12.5 cm de long sans le bouchon.

Je ne présente pas la 3776 en 14K. Elle est archi connue et réputée ; à mon avis sans défaut bien qu’il y ait encore mieux sur le marché. La fermeture du bouchon se fait par clip avec le système Platinum qui normalement évite (en partie) l’évaporation de l’encre avec le temps. J’espère seulement que le fonctionnement du clip lui, ne « s’évapore » pas avec le temps !
Voilà, j’espère avoir fait des envieux.


