En effet, je me suis rendu à Baselworld, car j'avais quelques rencontres intéressantes de programmées.
En premier, Carlo Naldi, de la manufacture Edelberg, mais il n'en sera pas sujet dans ce post, ni de son adorable fils Samuel.
Deuxièmement, Ollivier Savelli, meilleur artisan de France. Vous pouvez dire cocorico, moi je dis chapeau bas.
Troisièmement, par pur hasard sur conseil de Leigh Reyes, Carl Cunanan, de calibremagazine.com. Chic type, qui avait un Capless à cerises.
Bon...au sujet des montres, je vous explique volontiers en m.p. si vous voulez les détails.
De partance de Bâle, je lance un fil à Martin, afin de savoir s'il est disponible en fin d'après-midi. Bingo! Je m'arrête à Berne, puis prend le régio pour Ittigen, là où se trouve son atelier.
Il y a quelques jours, J'ai clamé que je n'aimais pas les stylos japonais. J'ai ensuite révisé mon jugement sur le Falcon et le Heritage, minushkinisés of course. Sans être vraiment convaincu qu'un achat en ce sens me conviendrait.
Je franchis aujourd'hui une étape supplémentaire, avec la conviction que d'ici fin 2016 mon porte-monnaie va se vider d'un coup, pour un objet extrêmement raffiné.
Ce sera un Martin Pauli, oui Madame, oui Monsieur, et rien d'autre.
Au diable le MB 1912 qui me faisait de l'oeil, au diable le Tibaldi Iride, au diable l'Omas Extra Lucens, au diable l'Omas Paragon New Style, ma wish-list stupide et incommensurablement longue. Je veux un Manu Propria!
Voici un extrait de ses stylos:

Je n'arrive pas à poster plus que deux photos, car je suis encore dans le train, et vous savez, en Suisse, tout est des fois trèèèès lent.
Voici l'animal en question, devant ses boites remplies de laque précieuse à 2000chf le litre.
