Superbe les diffusions d'encre dans l'eau avec un bel éclairage discret.
Merci Silverado, ça me rassure de voir que je ne suis pas le seul à tester la résistance à l'eau des encres.
Pour info la Montblanc Permanent grey résiste mais pas très bien à l'eau, moins bien que la bleu.
Dans la vie, il faut savoir être souple ! Orange = modération, Noir = sans modération.
En cas de désaccord avec la modération, veuillez avoir l'obligeance de contacter Leibniz ou PDZ.
Excellente idée que ce mélange eau / encre pour mieux appréhender la couleur.
Les Test de résistance à l'eau sont une bonne source d'informations pour les maniaques de la permanence de l'encre ou des obsdésde l'accident café thé.
Pdz te donne des encres et voilà ce que tu en fais : tu les noies dans l'eau ?
Félicitations Silverado, les nuées de couleurs sont magnifiquement figées.
On voit bien ce que signifie "encre permanente".
Les marins doivent également apprécier tes tests.
Mes impressions sont bonnes, j'adore tes tests ( extrêmes ) mais instructifs.
J'ai un essai que je publierai en décembre, sur ce fil, il concerne l'encre du pharmacist par rapport à Quink Blue, une exposition à la lumière mais dans un usage normal.
Keep calm & upgrade the forum Orange = modération
En cas de désaccord contacter Leibniz by Taranis
Bonjour yves
Les encres photographiques d'imprimantes professionnelles sont pigmentaires, afin de résister à certaines agressions de l'environnement (gaz, lumière - visible comme UV et IR - etc...) et surtout... le temps qui passe ("le temps est une lime qui travaille silencieusement").
À ce titre, les encres pigmentaires pour stylo plume (Sailor, Platinum, MontBlanc etc...) présentent les mêmes avantages que leurs homologues photographiques.
Les encres ferro galliques comme "Pharmacist's" agissent sur le papier lui-même, en le modifiant physiquement, un peu comme s'il était "brûlé" par l'acide de l'encre. Cela confère également à ce type d'encres une grande vertu d'"archivabilité". Les inconvénients se voient chez les conservateurs d'archives car, mal dosées, ces encres finissent par ronger et détruire d'anciens manuscrits (on peut penser que les dosages et formulations des encres ferrogalliques modernes ont réglé le problème).
L'autre inconvénient en est que les parties métalliques de nos chers stylos risquent la corrosion au contact de ces encres. Mais si elles ne rencontrent que du plastic ou de l'or - voire même de l'acier inoxydable, ce danger disparait.
Pour les encres pigmentaires, le danger réside cette fois dans l'accumulation de "solides" (les fameux pigments) dans le conduit du stylo. Danger que l'on pallie en ne laissant pas l'encre sécher dans le stylo inactif...
Je tâche de garder au moins un stylo chargé d'une encre à grande conservation; lorsqu'il s'agit d'une encre pigmentaire et que le stylo n'écrit pas souvent, je le vide et le remplis plusieurs fois dans l'encrier afin que l'encre dissolve d'éventuels commencements de dépôts... (je suis un manique de l'entretien de mes stylos comme de la conservation en général (et pas seulement de mes photographies !). J'attends ton test avec impatience, Yves !