En m'interrogeant, je crois que j'aime bien avoir quelque chose de précieux au bout de mon stylo; l'or doit aussi avoir un peu ce rôle dans la plume. Sur un plan plus sérieux, l'or continue à me rassurer surtout lorsque j'utilise des encres ferrogalliques par ex.
Si j'étais à la recherche de souplesse et d'élasticité, je pense que je chercherais vers l'acier - même en sachant pertinemment que la plupart de ces plumes sont de nos jours raides comme du chêne ! Ou bien le Titane, qui semble bien avoir appris son rôle ici.
J'ai beaucoup de plumes préférées - et même certaines que j'ai vendu, car je distinguais mal leur trace sur le papier.
Aujourd'hui, mes coups de coeur vont à une "B" d'un Capless (un Fermo, moins pratique que le classique vanishing point, mais tellement plus beau ! - du moins à mes yeux...),
et surtout à une Pelikan M800 triple broad dont John Mottishaw m'a fait une fabuleuse "architect". Je pourrais en citer plein ( ? ) d'autres, dont une (autre) Pelikan 3B oblique retaillée par Richard Binder en italic - O3B... et aussi une stub de MB sur un 149... (celui que la poste ne m'a pas encore volé).
Donc mon Architect 3B (M800) aujourd'hui monyée sur un Toledo 900 :

et
