Christof a écrit : ↑19 juil. 2019 13:21
C'est une citation du livre "Homo Faber" de Max Frisch, ecrivain suisse.
La personnage principal, Walter Faber dit: "Je suis technicien et j'ai l'habitude de voir les choses telles qu'elles sont." ...et le reste du livre parle de cette erreur.
Dans le livre, il utilise une machine à écrire (une Hermes-Paillard Baby), mais je suis sûr que s'il possédait un stylo plume, ce serait un Parker "51".
C.
Merci Christof pour cette superbe photo !
Ce qui est fascinant, c'est la composition surréaliste : le texte sur la machine ne peut pas avoir été écrit sur la machine !
<< You're not haunted by the war, Doctor WATSON, you miss it !!! >>
Merci brisefer. J'aurais dû poster plutôt dans la section calligraphie...
Le cahier est noté 1892/94....Elle l'avait donc écrit entre 15 et 17 ans (je précise que je n'ai pas connue ma grand-mère )
Avatar : Photo : Gérard Jaubert
( by "Taranis" ) « Les poètes seuls parlent une langue suffisante pour l'avenir. » V. Hugo, Tas de pierres ca. 1875
grindsel a écrit : ↑07 août 2019 06:29
Le cahier est noté 1892/94....Elle l'avait donc écrit entre 15 et 17 ans (je précise que je n'ai pas connue ma grand-mère )
Cette écriture me rappelle celle de mon grand-père… que je regardais écrire, remplir des pages de carnet et faire des affiches avec les crayons bicolores bleu-rouge (courants à cette époque) où il arrivait à recréer l’effet plein et déliés en faisant d'abord les bordures puis en remplissant le centre… nostalgie, nostalgie…
Merci pour le partage et cette projection dans le passé…
"La liberté, c'est de dire que deux et deux font quatre. Quand cela est accordé, le reste suit." G.Orwell (1984)
Très joli ! Il est loin le temps où on apprenait à avoir une belle écriture.
Dans la vie, il faut savoir être souple ! Orange = modération, Noir = sans modération.
En cas de désaccord avec la modération, veuillez avoir l'obligeance de contacter Leibniz ou PDZ.
J'ai toujours été attiré par les vieilles photographies, sans bien m'expliquer cette fascination.
...
Je veux parler de l'émerveillement qu'on ressent en contemplant ces vêtements surannés, ces perspectives disparues. En songeant que tout cela a jadis existé. Que ces visages, ces objets perdus ont réellement renvoyé la lumière vers la plaque sensible.
Que ces gens ont réellement existé, qu'ils ont souri pour de vrai à l'appareil photo.