Test du Platinum 3776 Maki-é par Uncle Pilotnamiki
Posté : 18 juil. 2010 21:48
Je me suis procuré un splendide Platinum 3776 Maki-é coquelicot sur le site de Loïc fin Janvier 2010, après plusieurs mois d'utilisation, voici venu le temps de publier un compte-rendu exhaustif.je tiens à préciser que je collectionne stylos récents et plus anciens depuis une vingtaine d'années, je peux donc procéder à moult comparaisons.
HISTOIRE:Le Platinum 3776 apparait comme la réponse au best-seller de Pilot du milieu des années 70, à savoir le Custom 74 (excellent stylo, toujours en production, que je recommande chaudement aux amateurs d'écriture plutôt que de frime.)Notre 3776 reprend dans sa désignation l'altitude du Fuji-San (tropisme germanico-Mont-blanc...), voilà qui révèle la volonté de Platinum de le propulser au sommet de sa gamme.
Le Platinum 3776 peut être considéré comme "l'enfant" du célèbre nouvelliste Haruo Umeda qui désirait concevoir le stylo idéal de l'écrivain.Plus de 50 prototypes furent expédiés à des collègues de M Umeda, à la condition qu'ils rédigent un minimum de 30 pages d'écriture manuscrite par jour et qu'ils tiennent un compte rendu hebdomadaire.Le resultat fût un stylo sobre et de qualité, à l'image des Pilot Custom.Il existe au Japon un Platinum 3776 reprenant l'aspect cannelé à grosse bague centrale du Waterman Hundred Years des années 40, très amusant...Il ne semble pas vieillir, mais pourtant le Platinum 3776 date de 1978, dans sa première version.Il se singularise par un diamètre de 13 mm (préhension aisée pour les 2 sexes) et une plume (14 carats sur les versions standards, 18 Carats sur les Maki-é et même en platine sur les versions en argent massif) dotée d'un ravissant petit évent en forme de coeur, rappelant les modèles des années 10-20-30...
Aujourd'hui, le Platinum 3776 sert de base à toute la gamme Nakaya, le Piccolo par exemple reprend intégralement son bloc plume.
Outre les versions ci-dessus énumérées, le Platinum 3776 existe en version celluloid "koï" évoquant les nuances rouges et nacrées de la précieuse carpe nippone...
Une particularité unique au 3776 réside dans le système de fermeture du capuchon, selon les modèles à pas de vis ou à friction, étrange à l'heure de la rationalisation industrielle tous azimuts!
Venons-en à l'évaluation proprement dîte.
PRÉSENTATION:Le Platinum 3776 Maki-é coquelicot est livré dans une boîte en Pawlonia de dimensions compactes tapissée de velours cramoisi.Le stylo est fourni avec un indispensable convertisseur (classique à pas de vis) et avec un adaptateur pour cartouches européennes (utile vu la rareté des cartouches Platinum sur le marché français...)Un petit dépliant , en japonais et en anglais retrace l'histoire de l'Urushi (la laque japonaise naturelle) et de la technique de décoration Maki-é (à noter, la boîte évoque celle des Sailor 1911 Maki-é et le petit dépliant explicatif ressemble comme deux gouttes d'eau à celui fourni par Pilot sur ses séries Maki-é!)
CONSTRUCTION:Un corps en résine végétale (de bonne épaisseur), un pas de vis interne en acier (en plastique sur les Namiki Tradition), ça inspire confiance.Oui, mais le capuchon se ferme via un système à friction (moins classe et moins fiable qu'un pas de vis)Le stylos semble solide, RAS sur ce point.Le 3776 utilise soit les cartouches Platinum, soit un convertisseur (fourni), soit un adaptateur pour cartouches européennes, d'où une grande polyvalence.Cela vaut un 18/20
FINITION:Le Platinum 3776 Maki-é coquelicots arbore un style Kaga, du nom d'un clan ayant introduit l'art du laque dans la cité de Kanazawa, préfecture d'Ishikawa.Pilot/Namiki étant le seul de 3 grands nippons à posséder sa propre école de laque (la célèbre Kokkokaï et ses maîtres laqueurs "maison"), les 2 autres font appel à des "indépendants"Le résultat n'en demeure pas moins remarquable:utilisation de la technique raden (incrustation de coquillage et de nacre), hyomon (poudre d'or soufflé dans la laque) et même chinkin -ou apparentée- ( consistant à incruster des feuilles d'or-et d'argent sur le capuchon- dans la laque, représentant les feuilles du coquelicot.)Au final, une véritable splendeur rivalisant sans aucun problème avec un Namiki Yukari.A ce stade ce stylo mériterait un 20/20 mais quelques petits détails ternissent le résultat final.La partie la plus inesthétique de ce modèle se situe sur le capuchon avec une agrafe de forme banale, un peu trop large et sensible aux rayures et surtout on pestera contre la présence d'une bague centrale dorée troublant l'harmonie de la ligne fuselée du 3776 et l'esprit zen de l'ensemble (à retirer au plus vite comme sait si bien le faire Pilot-Namiki!) Cela vaut, au final, un 17/20
ERGONOMIE:J'apprécie les stylos légers,un sans faute sur ce point.Le Platinum 3776 s'avère très plaisant à mener, même pour les longues séances d'écriture.M Umeda avait raison, il s'agit bien d'un instrument de pro, pas d'un modèle d'exhibition style MB 149!Son diamètre s'adaptera à toutes et à tous sans problèmes. sur ce chapitre, je lui décerne un 18/20 (mais certains lorgneront sur des modèles plus larges ou consistant, c'est leur choix!)
PLUME/CONDUIT:Contrairement à tant de labels pourtant réputés, Platinum façonne ses propres plumes et conduits; cette seule démarche, coûteuse en savoir faire et capitaux devrait lui valoir un 20/20, mais voyons plus loin...Cette plume monochrome, de couleur or et sobrement décorée (ce n'est pas un sapin de noël multicolore destiné aux frimeurs de tous bords) arbore une dimension légèrement plus importante (longueur et largeur) que sa concurrente directe à savoir la Pilot/Namiki #10 montée sur les Pilot Maki-é et Bamboo ainsi que sur les Namiki Yukari.A l'utilisation, la plume 3776 se montre légèrement moins douce que la Pilot #10 (mais je pinaille, cela demeure extrêmement agréable avec un feedback digne de ce nom, permettant de ressentir la formation des caractères.)Par contre cette plume se révèle un peu plus souple que la Pilot et correspondra à 90% des attentes.Elle permet des prises de note rapide comme ou la rédaction d'une lettre avec quelques effets de flexion.C'est au mieux une semi-souple, mais pas une plume rigide style Sheaffer "inlaid" ou Parker Duofold "Big-Red"Les véritables amateurs de plumes souples lorgneront plutôt vers un Pilot Falcon ou un Nakaya "supple" ou encore un Pelikan M1000.
En matière de largeur, nous sommes un cran en dessous des normes européennes (Japon oblige) à savoir qu'une plume 3776 large équivaut à une moyenne selon nos normes et qu'une moyenne 3776 correspond plutôt à une fine, à savoir avant de passer commande...
Le conduit Platinum assure un débit parfait (ni trop sec, ni trop important) avec les encres Parker, Sheaffer, Aurora , Namiki et Pilot Iroshizuku.On évitera toutefois l'utilisation des encres germaniques (Mont-Blanc ,Pelikan) d'une "Kolossale finesse" et de l'encre Waterman pour les mêmes raisons.
A ce jour, mon 3776 a fait preuve d'une fiabilité exemplaire, démarrant sans aucune hésitation,jamais, acceptant une poigne d'acier et des heures d'écriture en continu.On peut réellement le qualifier d'outil d'écriture dans le sens le plus noble du terme.Encore une fois, nos amis japonais ont cultivé l'être plutôt que le paraître, qu'ils en soient remerciés éternellement! Le chapitre plume/conduit se solde donc par une note de 18/20 (mais 9/20 pour les amateurs de souplesse calligraphique!)
RAPPORT QUALITÉ/PRIX:Un stylo Maki-é au décor sublime à un prix aussi ridicule (moins de 400 Euros), c'est possible?Et bien oui!Du Namiki pour une fraction du prix, ça vous tente?Je tiens à préciser que je possède également des Namiki (Tradition et Yukari) et que notre Platinum 3776 n'a rien à leur envier (sauf la forme de l'agrafe et cette fichue bague centrale.)Sans hésitations ce chapitre vaut un 20/20 voire 25/20 (au moins...)
QUALITÉS/DÉFAUTS:du Platinum 3776 Maki-é "coquelicots"
Qualités
Oeuvre d'art au décor envoutant et au toucher sensuel (ah cette douceur exquise, l'Urushi, c'est magique!)
Fiabilité totale
Plume agréable, précise et polyvalente/bon débit (mais taillant petit, une large 3776 équivaut à une moyenne européenne et une moyenne 3776 à une fine ici...)
Sérieusement construit
Rapport qualité/prix renversant
Modèle peu connu et sobre, discrétion de bon aloi
Légèreté et bonne ergonomie (pour les femmes et les hommes)
Défauts:
Agrafe banale et se rayant facilement
Bague centrale défigurant un peu la ligne
Capuchon à fermeture à friction (mieux vaut un pas de vis)
Trop petit pour certains (13 mm de diamètre) et pas assez tape à l'oeil pour d'autres...
D'aucuns trouvent la plume trop ferme (ça n'est pas une Pilot Falcon ou une Nakaya souple)
CONCLUSION:les amateurs de ce forum ne semblent jurer que par Sailor, Pelikan on Nakaya, il feraient bien de jeter un coup d'oeil au Platinum 3776 qui mérite bien mieux que l'anonymat dans lequel il se trouve!L'essayer, c'est l'adopter.Le nombre de versions différentes permet de combler à peu-près tous les goûts (Maki-é, argent-massif, celluloid.)En bref, à découvrir d'urgence!
Dîtes-moi ce que vous avez pensé de mon banc d'essai, si cela vous a plu, j'en publierai d'autres (stylos contemporains, anciens et même vintages.)
Uncle Pilotnamiki
HISTOIRE:Le Platinum 3776 apparait comme la réponse au best-seller de Pilot du milieu des années 70, à savoir le Custom 74 (excellent stylo, toujours en production, que je recommande chaudement aux amateurs d'écriture plutôt que de frime.)Notre 3776 reprend dans sa désignation l'altitude du Fuji-San (tropisme germanico-Mont-blanc...), voilà qui révèle la volonté de Platinum de le propulser au sommet de sa gamme.
Le Platinum 3776 peut être considéré comme "l'enfant" du célèbre nouvelliste Haruo Umeda qui désirait concevoir le stylo idéal de l'écrivain.Plus de 50 prototypes furent expédiés à des collègues de M Umeda, à la condition qu'ils rédigent un minimum de 30 pages d'écriture manuscrite par jour et qu'ils tiennent un compte rendu hebdomadaire.Le resultat fût un stylo sobre et de qualité, à l'image des Pilot Custom.Il existe au Japon un Platinum 3776 reprenant l'aspect cannelé à grosse bague centrale du Waterman Hundred Years des années 40, très amusant...Il ne semble pas vieillir, mais pourtant le Platinum 3776 date de 1978, dans sa première version.Il se singularise par un diamètre de 13 mm (préhension aisée pour les 2 sexes) et une plume (14 carats sur les versions standards, 18 Carats sur les Maki-é et même en platine sur les versions en argent massif) dotée d'un ravissant petit évent en forme de coeur, rappelant les modèles des années 10-20-30...
Aujourd'hui, le Platinum 3776 sert de base à toute la gamme Nakaya, le Piccolo par exemple reprend intégralement son bloc plume.
Outre les versions ci-dessus énumérées, le Platinum 3776 existe en version celluloid "koï" évoquant les nuances rouges et nacrées de la précieuse carpe nippone...
Une particularité unique au 3776 réside dans le système de fermeture du capuchon, selon les modèles à pas de vis ou à friction, étrange à l'heure de la rationalisation industrielle tous azimuts!
Venons-en à l'évaluation proprement dîte.
PRÉSENTATION:Le Platinum 3776 Maki-é coquelicot est livré dans une boîte en Pawlonia de dimensions compactes tapissée de velours cramoisi.Le stylo est fourni avec un indispensable convertisseur (classique à pas de vis) et avec un adaptateur pour cartouches européennes (utile vu la rareté des cartouches Platinum sur le marché français...)Un petit dépliant , en japonais et en anglais retrace l'histoire de l'Urushi (la laque japonaise naturelle) et de la technique de décoration Maki-é (à noter, la boîte évoque celle des Sailor 1911 Maki-é et le petit dépliant explicatif ressemble comme deux gouttes d'eau à celui fourni par Pilot sur ses séries Maki-é!)
CONSTRUCTION:Un corps en résine végétale (de bonne épaisseur), un pas de vis interne en acier (en plastique sur les Namiki Tradition), ça inspire confiance.Oui, mais le capuchon se ferme via un système à friction (moins classe et moins fiable qu'un pas de vis)Le stylos semble solide, RAS sur ce point.Le 3776 utilise soit les cartouches Platinum, soit un convertisseur (fourni), soit un adaptateur pour cartouches européennes, d'où une grande polyvalence.Cela vaut un 18/20
FINITION:Le Platinum 3776 Maki-é coquelicots arbore un style Kaga, du nom d'un clan ayant introduit l'art du laque dans la cité de Kanazawa, préfecture d'Ishikawa.Pilot/Namiki étant le seul de 3 grands nippons à posséder sa propre école de laque (la célèbre Kokkokaï et ses maîtres laqueurs "maison"), les 2 autres font appel à des "indépendants"Le résultat n'en demeure pas moins remarquable:utilisation de la technique raden (incrustation de coquillage et de nacre), hyomon (poudre d'or soufflé dans la laque) et même chinkin -ou apparentée- ( consistant à incruster des feuilles d'or-et d'argent sur le capuchon- dans la laque, représentant les feuilles du coquelicot.)Au final, une véritable splendeur rivalisant sans aucun problème avec un Namiki Yukari.A ce stade ce stylo mériterait un 20/20 mais quelques petits détails ternissent le résultat final.La partie la plus inesthétique de ce modèle se situe sur le capuchon avec une agrafe de forme banale, un peu trop large et sensible aux rayures et surtout on pestera contre la présence d'une bague centrale dorée troublant l'harmonie de la ligne fuselée du 3776 et l'esprit zen de l'ensemble (à retirer au plus vite comme sait si bien le faire Pilot-Namiki!) Cela vaut, au final, un 17/20
ERGONOMIE:J'apprécie les stylos légers,un sans faute sur ce point.Le Platinum 3776 s'avère très plaisant à mener, même pour les longues séances d'écriture.M Umeda avait raison, il s'agit bien d'un instrument de pro, pas d'un modèle d'exhibition style MB 149!Son diamètre s'adaptera à toutes et à tous sans problèmes. sur ce chapitre, je lui décerne un 18/20 (mais certains lorgneront sur des modèles plus larges ou consistant, c'est leur choix!)
PLUME/CONDUIT:Contrairement à tant de labels pourtant réputés, Platinum façonne ses propres plumes et conduits; cette seule démarche, coûteuse en savoir faire et capitaux devrait lui valoir un 20/20, mais voyons plus loin...Cette plume monochrome, de couleur or et sobrement décorée (ce n'est pas un sapin de noël multicolore destiné aux frimeurs de tous bords) arbore une dimension légèrement plus importante (longueur et largeur) que sa concurrente directe à savoir la Pilot/Namiki #10 montée sur les Pilot Maki-é et Bamboo ainsi que sur les Namiki Yukari.A l'utilisation, la plume 3776 se montre légèrement moins douce que la Pilot #10 (mais je pinaille, cela demeure extrêmement agréable avec un feedback digne de ce nom, permettant de ressentir la formation des caractères.)Par contre cette plume se révèle un peu plus souple que la Pilot et correspondra à 90% des attentes.Elle permet des prises de note rapide comme ou la rédaction d'une lettre avec quelques effets de flexion.C'est au mieux une semi-souple, mais pas une plume rigide style Sheaffer "inlaid" ou Parker Duofold "Big-Red"Les véritables amateurs de plumes souples lorgneront plutôt vers un Pilot Falcon ou un Nakaya "supple" ou encore un Pelikan M1000.
En matière de largeur, nous sommes un cran en dessous des normes européennes (Japon oblige) à savoir qu'une plume 3776 large équivaut à une moyenne selon nos normes et qu'une moyenne 3776 correspond plutôt à une fine, à savoir avant de passer commande...
Le conduit Platinum assure un débit parfait (ni trop sec, ni trop important) avec les encres Parker, Sheaffer, Aurora , Namiki et Pilot Iroshizuku.On évitera toutefois l'utilisation des encres germaniques (Mont-Blanc ,Pelikan) d'une "Kolossale finesse" et de l'encre Waterman pour les mêmes raisons.
A ce jour, mon 3776 a fait preuve d'une fiabilité exemplaire, démarrant sans aucune hésitation,jamais, acceptant une poigne d'acier et des heures d'écriture en continu.On peut réellement le qualifier d'outil d'écriture dans le sens le plus noble du terme.Encore une fois, nos amis japonais ont cultivé l'être plutôt que le paraître, qu'ils en soient remerciés éternellement! Le chapitre plume/conduit se solde donc par une note de 18/20 (mais 9/20 pour les amateurs de souplesse calligraphique!)
RAPPORT QUALITÉ/PRIX:Un stylo Maki-é au décor sublime à un prix aussi ridicule (moins de 400 Euros), c'est possible?Et bien oui!Du Namiki pour une fraction du prix, ça vous tente?Je tiens à préciser que je possède également des Namiki (Tradition et Yukari) et que notre Platinum 3776 n'a rien à leur envier (sauf la forme de l'agrafe et cette fichue bague centrale.)Sans hésitations ce chapitre vaut un 20/20 voire 25/20 (au moins...)
QUALITÉS/DÉFAUTS:du Platinum 3776 Maki-é "coquelicots"
Qualités
Oeuvre d'art au décor envoutant et au toucher sensuel (ah cette douceur exquise, l'Urushi, c'est magique!)
Fiabilité totale
Plume agréable, précise et polyvalente/bon débit (mais taillant petit, une large 3776 équivaut à une moyenne européenne et une moyenne 3776 à une fine ici...)
Sérieusement construit
Rapport qualité/prix renversant
Modèle peu connu et sobre, discrétion de bon aloi
Légèreté et bonne ergonomie (pour les femmes et les hommes)
Défauts:
Agrafe banale et se rayant facilement
Bague centrale défigurant un peu la ligne
Capuchon à fermeture à friction (mieux vaut un pas de vis)
Trop petit pour certains (13 mm de diamètre) et pas assez tape à l'oeil pour d'autres...
D'aucuns trouvent la plume trop ferme (ça n'est pas une Pilot Falcon ou une Nakaya souple)
CONCLUSION:les amateurs de ce forum ne semblent jurer que par Sailor, Pelikan on Nakaya, il feraient bien de jeter un coup d'oeil au Platinum 3776 qui mérite bien mieux que l'anonymat dans lequel il se trouve!L'essayer, c'est l'adopter.Le nombre de versions différentes permet de combler à peu-près tous les goûts (Maki-é, argent-massif, celluloid.)En bref, à découvrir d'urgence!
Dîtes-moi ce que vous avez pensé de mon banc d'essai, si cela vous a plu, j'en publierai d'autres (stylos contemporains, anciens et même vintages.)
Uncle Pilotnamiki