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Cher Jean,

Un peu comme comme les cavaliers (ou est-ce les carabiniers ?) d'Offenbach mais je souhaitais te remercier.

J'aurais pu le faire en privé mais je pense que ce que j'ai à dire n'a pas besoin d'être caché et surtout pourrait être plussoyé par la communauté.

(flashback)
Je me suis rendu chez Signature à Liège pour chercher le dernier Stylographe suite aux commentaires sur le forum. Malheureusement, il n'y avait que l'avant-dernier numéro. En effet, il est très compliqué à ce magazine de passer la frontière dans des temps raisonnables ... le numéro 40 n'est toujours pas là.

Le gérant m'a très généreusement offert le numéro 39 que je n'avais pas encore lu. Un superbe Namiki en première page

(fin du flashback publicitaire)

En page 38, je découvre avec grand bonheur un texte original de ta part. Celui-ci m'a vraiment ému. Je ne suis retombé dans le chaudron (magique) de la calamophilie que depuis peu mais te lire m'a presque fait regretter d'avoir autant attendu. Tu as dépeint avec brio des émotions que tout un chacun ressent. C'est un peu comme si je revivais les mêmes sensations que lors l'achat de mon dernier stylo en magasin.

Ce ne sont que quelques mots, pas un long discours. Mais sache que grâce à toi, j'ai passé de merveilleuses minutes avant de retomber de manière abrupte dans mes livres de comptes. Cruelle fatalité.

J'espère pouvoir lire encore de nombreux textes provenant de tes plumes. Je te promet d'écrire à l'avenir mes vœux à la plume et faire vivre la Poste.

Bonne journée à toi.

C'était Christophe dans: "L'art de se faire des amis"

C'était Hellmut dans: "L'art de se faire des amis... parmi les nouveaux ennemis de Christophe" .

et amicales salutations à tous - l'occasion était trop belle mes excuses les plus plates et surtout amicales à Hellmut !

Euhhhhh....

Je ne vous cache pas qu'il est parfois difficile de savoir si ce qu'on écrit convient au lecteur.
Je n'écris pas pour ça, mais j'essaie de "faire juste".
Je dis - parfois en des termes "sélectionnés" - ce que je pense, notamment des stylos que je teste.
Ce qui me lisent habituellement savent parfaitement lire "entre les lignes" et comprendront que j'aime vraiment un stylo, ou qu'au contraire, je reconnais des qualités sans pour autant être "fan".
Je dis très rarement du mal d'un stylo, tout en souligant les petits défauts.
La raison est simple: si le produit est mauvais, en principe, on ne le teste pas, et il faut reconnaître que les produits que nous testons sont en principe des stylos fabriqués par des gens qui savent le faire...
J'ai toutefois le souvenir d'un Platinum que je me suis "encadré", il y a quelques années.
J'ai aussi le souvenir plus récent d'un stylo pour lequel j'ai dit à mon Directeur de publication que je ne le testerai pas, sauf à le flinguer en public. Il joue le jeu. C'est mon privilège de contributeur bénévole et passionné au Stylographe.

Merci donc pour vos retours, ils comptent vraiment.