Le problème, Julien

, c'est l'engrenage, comme pour les montres, une fois qu'on a mis le doigt dedans, c'est foutu

!
A chaque fois c'est pareil, on ressent un vrai coup de foudre pour un stylo parmi d'autres qui nous laissent froid sur le net ou dans une vitrine, et c'est celui qu'il nous faut, après celui-là, il n'en restera plus qu'un ou deux à acheter y basta, on sera tranquille pour longtemps.
Et puis non, la fois d'après, on revoit ces mêmes stylos qui nous ont laissés froids et puis finalement il y en a un autre qui apparaît sous un nouveau jour, et c'est la rechute...
Contrairement aux montres où le budget nécessaire impose des coups de frein des deux pieds, il est des stylos pas toujours onéreux qui peuvent provoquer des coups de coeur auxquels il est difficile de résister, c'est là que la maladie s'installe et que le germe de la collectionnite prolifère.
Et pour ne rien arranger, des lieux de perdition

comme SPN ne font rien pour arranger les choses, une petite visite par ci, un petit message par là, et hop, un p'tit coup de piquouse de rappel, histoire de maintenir le désir...
Je ne voudrais pas être pessimiste mais je crois que nous sommes plusieurs à devoir prochainement penser à racheter de nouveaux coffrets pour ranger les futures acquisitions...
Le problème avec tout ça, c'est qu'il est bon de se laisser s'enivrer à coup de plumes Sailor, à coup de celluloïd Omas, à coup de vieux Pelikan tous droits sortis d'un passé glorieux et qui feront encore le plaisir de futurs passionnés.
Je ne sais pas trop pourquoi j'ai écrit tout ça mais, pour rassurer Julien

, je dirais que la plume est une drogue douce avec laquelle je m'enivre avec délectation et sans aucun remord ni regret.
Nic

las