Le ST Dupont D Link qui m'a fait craquer !
Posté : 01 juin 2012 09:30
Après toutes ces années d’écriture, de flacons à encre vidés et de plumes usées, ce n’est pas évident d’avouer sa « novicitude ».
Sans refaire mon histoire, je ne me suis jamais déplacé sans un stylo à encre dans la poche ou dans mon sac, à l’école, au bureau, en montagne et même dans mes randonnées à vélo où un Lamy Safari est un fidèle compagnon.
Je ne suis pas attaché à un marque ni un modèle et il ya quelques années j’ai craqué sur un Dupont D’Link. Je suis tellement enthousiaste que je m’offre deux viroles. Au bout de deux mois environ le débit baisse puis fini par disparaitre. Le seul moyen pour écrire est de mettre l’encre au bord de la plume avec le converter.
Chez Dupré, célèbre spécialiste parisien, il m’est dit que la plume est désolidarisée du conduit. C’est la première fois qu’ils voient cela et que la cause est certainement un mauvais traitement.
Je ne discute pas, je m’exécute et rachète un bloc plume.
Après un ou deux mois d’utilisation, même maladie. Déçu, je nettoie le D’Link, le range dans sa boite et Hop !!! direct, au fonds du tiroir ! Mon Lamy 2000 rechargé, c’est reparti pour de belles pages d’écriture.
Cela faisait bien deux ans et je n’y pensai plus quand mon déménagement me conduit à ranger mon bureau. Je ressors le D’Link, il est toujours aussi beau. Ne voulant pas rester sur cet échec, je décide d’appeler Faverges où les stylos sont fabriqués. Il m’est alors conseillé de leur envoyer. Le verdict est tombé la semaine dernière : Devis 145€…changement du bloc plume !
Je ne sais pas si je suis un cas isolé mais j’ai eu des Waterman, Parker, Sheaffer, Lamy et même un Meisterstück Mont blanc (ce n’est pas mon préféré) et n’ai jamais eu aucun soucis. Mon premier ST Dupont est un fiasco. Le stylo est beau mais inutilisable.
Aujourd’hui, je n’arrive pas à savoir si ce modèle a un défaut structurel ou si effectivement il n’est pas adapté à mon écriture.
Je serai content de pouvoir partager avec vous sur le sujet, les boutiques spécialisées à qui j’en ai parlé n’ont pas d’avis tranché.
Sans refaire mon histoire, je ne me suis jamais déplacé sans un stylo à encre dans la poche ou dans mon sac, à l’école, au bureau, en montagne et même dans mes randonnées à vélo où un Lamy Safari est un fidèle compagnon.
Je ne suis pas attaché à un marque ni un modèle et il ya quelques années j’ai craqué sur un Dupont D’Link. Je suis tellement enthousiaste que je m’offre deux viroles. Au bout de deux mois environ le débit baisse puis fini par disparaitre. Le seul moyen pour écrire est de mettre l’encre au bord de la plume avec le converter.
Chez Dupré, célèbre spécialiste parisien, il m’est dit que la plume est désolidarisée du conduit. C’est la première fois qu’ils voient cela et que la cause est certainement un mauvais traitement.
Je ne discute pas, je m’exécute et rachète un bloc plume.
Après un ou deux mois d’utilisation, même maladie. Déçu, je nettoie le D’Link, le range dans sa boite et Hop !!! direct, au fonds du tiroir ! Mon Lamy 2000 rechargé, c’est reparti pour de belles pages d’écriture.
Cela faisait bien deux ans et je n’y pensai plus quand mon déménagement me conduit à ranger mon bureau. Je ressors le D’Link, il est toujours aussi beau. Ne voulant pas rester sur cet échec, je décide d’appeler Faverges où les stylos sont fabriqués. Il m’est alors conseillé de leur envoyer. Le verdict est tombé la semaine dernière : Devis 145€…changement du bloc plume !
Je ne sais pas si je suis un cas isolé mais j’ai eu des Waterman, Parker, Sheaffer, Lamy et même un Meisterstück Mont blanc (ce n’est pas mon préféré) et n’ai jamais eu aucun soucis. Mon premier ST Dupont est un fiasco. Le stylo est beau mais inutilisable.
Aujourd’hui, je n’arrive pas à savoir si ce modèle a un défaut structurel ou si effectivement il n’est pas adapté à mon écriture.
Je serai content de pouvoir partager avec vous sur le sujet, les boutiques spécialisées à qui j’en ai parlé n’ont pas d’avis tranché.