Parker 51 anglais, plume OM de 1950
Posté : 25 mai 2025 00:03
Un stylo maintes fois décrit sur le forum mais ayant eu à subir ici une de mes réparations "maison", basée cette fois-ci sur le savoir-faire partagé par grandmia.
J'ai demandé à mon épouse de bien vouloir vous écrire un pangramme pour vous éviter de pleurer en me lisant :
Encre QUINK noire, bloc Rhodia 80 g/m².
Elle comme moi avons le sentiment d'écrire avec un feutre très très doux à son utilisation : aucune accroche au contact avec le papier.
Elle le trouve un peu grand (même si elle utilise des Waterman expert gen.1 au quotidien !) mais il me parait fin et agréable dans ma pogne.
Le contact est le même avec différents types de papier lisse, le rendu plume en plus.
La QUINK sèche presque immédiatement, le stylo est très léger.
Je l’utilise depuis une semaine, une dizaine de pages A4 de notes prises, il est toujours prêt ; je pense qu’il est encore loin d’être à sec.
Sa plume n’est presque pas flexible. Son débit permet de former une tache de ∅ 2 cm sur un mouchoir Lotus Classic après maintien de 3 s.
Je n’ai pas eu de perte d’encre ces derniers jours dans le capuchon, malgré un transport parfois bien cahoteux : 2 heures de voiture par jour et un peu de marche dans la poche latérale de mon sac à dos. Le stylo me semble toujours disponible et très volontaire.
Extérieurement une fois nettoyé, le stylo est très beau, sans impact sur le capuchon. Les micro-rayures du corps sont gommées par l’application d’une cire polissante (Renaissance, cire microcristalline) appliquée à la peau de chamois après les étapes classiques d'un bain à ultrasons puis un dégraissage à l’eau de Cologne "Mont St Michel Naturelle Classique romarin cèdre" appliquée au Sopalin doux et non pelucheux. Le capuchon fut simplement frotté avec un chiffon nettoyant d’orfèvrerie.
J’ai deux autres 51 avec des plumes "fine" et "médium". La plume fine fait preuve d’une légère flexibilité, l’autre non. Je me fis à mon expérience avec ceux-ci pour décrire ce dernier arrivant. Il a une plume marquée 1950 avec 3 points. Elle fut découpée dans une feuille d’or 18K sensiblement plus épaisse que les deux autres. Elle me semble être du type oblique médium ou peut-être large. Toujours en comparant avec les autres, elle est très rigide.
Le stylo supporte une écriture sous des angles très importants d'une position presque verticale à presque couchée avec d'importantes variations dans l'épaisseur du trait selon la direction prise sur le papier.
SylMa
J'ai demandé à mon épouse de bien vouloir vous écrire un pangramme pour vous éviter de pleurer en me lisant :
Encre QUINK noire, bloc Rhodia 80 g/m².
Elle comme moi avons le sentiment d'écrire avec un feutre très très doux à son utilisation : aucune accroche au contact avec le papier.
Elle le trouve un peu grand (même si elle utilise des Waterman expert gen.1 au quotidien !) mais il me parait fin et agréable dans ma pogne.
Le contact est le même avec différents types de papier lisse, le rendu plume en plus.
La QUINK sèche presque immédiatement, le stylo est très léger.
Je l’utilise depuis une semaine, une dizaine de pages A4 de notes prises, il est toujours prêt ; je pense qu’il est encore loin d’être à sec.
Sa plume n’est presque pas flexible. Son débit permet de former une tache de ∅ 2 cm sur un mouchoir Lotus Classic après maintien de 3 s.
Je n’ai pas eu de perte d’encre ces derniers jours dans le capuchon, malgré un transport parfois bien cahoteux : 2 heures de voiture par jour et un peu de marche dans la poche latérale de mon sac à dos. Le stylo me semble toujours disponible et très volontaire.
Extérieurement une fois nettoyé, le stylo est très beau, sans impact sur le capuchon. Les micro-rayures du corps sont gommées par l’application d’une cire polissante (Renaissance, cire microcristalline) appliquée à la peau de chamois après les étapes classiques d'un bain à ultrasons puis un dégraissage à l’eau de Cologne "Mont St Michel Naturelle Classique romarin cèdre" appliquée au Sopalin doux et non pelucheux. Le capuchon fut simplement frotté avec un chiffon nettoyant d’orfèvrerie.
J’ai deux autres 51 avec des plumes "fine" et "médium". La plume fine fait preuve d’une légère flexibilité, l’autre non. Je me fis à mon expérience avec ceux-ci pour décrire ce dernier arrivant. Il a une plume marquée 1950 avec 3 points. Elle fut découpée dans une feuille d’or 18K sensiblement plus épaisse que les deux autres. Elle me semble être du type oblique médium ou peut-être large. Toujours en comparant avec les autres, elle est très rigide.
Le stylo supporte une écriture sous des angles très importants d'une position presque verticale à presque couchée avec d'importantes variations dans l'épaisseur du trait selon la direction prise sur le papier.
SylMa
