BAYARD "Spécial 8" [vintage]
Posté : 27 déc. 2023 15:07
tab m'a très gentiment prêté ce petit Bayard "Spécial 8" pour me permettre de découvrir le vrai flex vintage et m'a autorisée à en réaliser une petite présentation.
C'est un tout petit stylo, à remplissage à levier dont le corps semble en celluloïd, qui daterait des années 1932-34.
Les caractéristiques techniques principales :
- Marque : Bayard
- Modèle : Spécial 8
- Type plume : EF vintage très flex
- Longueur fermé avec capuchon : 112,9 mm
- Longueur corps + section visible sans plume : 87,8 mm
- Longueur capuchon posté sans plume : 125,1 mm
- Longueur plume visible : 18,4 mm
- Longueur corps : 72,7 mm
- Longueur section visible sans plume : 14,1 mm
- Longueur capuchon : 49,2 mm
- Diamètre maxi du corps : 11,5 mm
- Diamètre min. section : 6,5 mm
- Diamètre max. section : 9,3 mm
- Poids avec convertisseur et capuchon : 14,5 g
- Poids sans capuchon : 8,7 g
- Alimentation : Sac avec levier
- Fermeture : Bouchon à vis
- Capacité sac : pas beaucoup de ml
La plume est en or 18kt et c'est surtout elle qui retient l'attention.
Elle est extrêmement souple et ne nécessite quasiment pas de pression pour faire des pleins et des déliés.
Le simple fait d'écrire génère du flex et tab a réussi des pleins de près de 2mm.
A ce titre, l'écriture nécessite d'avoir une main des plus légères pour ne pas stresser la plume.
En effet, l'or en 18kt est assez ductile, ce qui facilite le flex, mais peut lui occasionner une déformation si on insiste trop.
Malgré les bons soins dont cette plume a bénéficié, les becs ne sont pas tout à fait jointif et cela provoque des interruptions d'alimentation dès que le flux diminue. Il faut régulièrement réamorcé la plume par attente, tapotage des becs ou papier absorbant.
En terme de souplesse, on n'est pas loin d'une Brause nr 76 rose, sans les problème de becs qui se plantent dans le papier.
C'est donc assez difficile à maîtriser car il n'y a pas de retenue quand les becs sont posés sur le papier. C'est vraiment la main qui doit totalement gérer l'enfoncement de la plume.
Limité par les petits soucis de l'alimentation et ma crainte d'abimer le stylo, je n'ai pas totalement réussi à prendre le coup.
Cela reste cependant une très belle expérience.
Merci tab.
C'est un tout petit stylo, à remplissage à levier dont le corps semble en celluloïd, qui daterait des années 1932-34.
Les caractéristiques techniques principales :
- Marque : Bayard
- Modèle : Spécial 8
- Type plume : EF vintage très flex
- Longueur fermé avec capuchon : 112,9 mm
- Longueur corps + section visible sans plume : 87,8 mm
- Longueur capuchon posté sans plume : 125,1 mm
- Longueur plume visible : 18,4 mm
- Longueur corps : 72,7 mm
- Longueur section visible sans plume : 14,1 mm
- Longueur capuchon : 49,2 mm
- Diamètre maxi du corps : 11,5 mm
- Diamètre min. section : 6,5 mm
- Diamètre max. section : 9,3 mm
- Poids avec convertisseur et capuchon : 14,5 g
- Poids sans capuchon : 8,7 g
- Alimentation : Sac avec levier
- Fermeture : Bouchon à vis
- Capacité sac : pas beaucoup de ml
La plume est en or 18kt et c'est surtout elle qui retient l'attention.
Elle est extrêmement souple et ne nécessite quasiment pas de pression pour faire des pleins et des déliés.
Le simple fait d'écrire génère du flex et tab a réussi des pleins de près de 2mm.
A ce titre, l'écriture nécessite d'avoir une main des plus légères pour ne pas stresser la plume.
En effet, l'or en 18kt est assez ductile, ce qui facilite le flex, mais peut lui occasionner une déformation si on insiste trop.
Malgré les bons soins dont cette plume a bénéficié, les becs ne sont pas tout à fait jointif et cela provoque des interruptions d'alimentation dès que le flux diminue. Il faut régulièrement réamorcé la plume par attente, tapotage des becs ou papier absorbant.
En terme de souplesse, on n'est pas loin d'une Brause nr 76 rose, sans les problème de becs qui se plantent dans le papier.
C'est donc assez difficile à maîtriser car il n'y a pas de retenue quand les becs sont posés sur le papier. C'est vraiment la main qui doit totalement gérer l'enfoncement de la plume.
Limité par les petits soucis de l'alimentation et ma crainte d'abimer le stylo, je n'ai pas totalement réussi à prendre le coup.
Cela reste cependant une très belle expérience.
Merci tab.
Et belles illustrations calligraphiques de son flex
