La qualité allemande ….

[toltotoll]

Photographier, c'est écrire avec de la lumière.

C'est beau, merci Silverado pour ce rayon de soleil dans cette journée morose.

+1

[jddegap]

... mais n'est-ce pas aussi un peu le cas des stylos plume ?

Si, bien souvent ...

[Dominique_H_31]

Aujourd'hui, il serait inimaginable pour moi de devoir passer une heure dans la chambre noire pour développer une photo.

Sauf que les clichés numériques, du moins en ce qui me concerne, ça se "développe" aussi, du moins pour ceux qui valent la peine, une fois éliminés les autres. Ça ne prend pas nominalement une heure par photo, mais quand on cumule le temps de tri (surtout quand on a la gachette facile avec le numérique) et le temps de post-traitement, ça finit par faire beaucoup de dizaines de minutes... pour avoir un résultat correct.

[Christof]

Sauf que les clichés numériques, du moins en ce qui me concerne, ça se "développe" aussi, du moins pour ceux qui valent la peine, une fois éliminés les autres. Ça ne prend pas nominalement une heure par photo, mais quand on cumule le temps de tri (surtout quand on a la gachette facile avec le numérique) et le temps de post-traitement, ça finit par faire beaucoup de dizaines de minutes... pour avoir un résultat correct.

C'est vrai aussi.
...mais cela dépend aussi un peu des exigences.

[Hobiecat]

surtout quand on a la gachette facile avec le numérique

C'est pour moi un gros défaut du numérique : en prenant le temps de faire la "bonne" photo, on s'épargne beaucoup du temps de post-traitement.

[Heodrene]

Sauf que les clichés numériques, du moins en ce qui me concerne, ça se "développe" aussi, du moins pour ceux qui valent la peine, une fois éliminés les autres. Ça ne prend pas nominalement une heure par photo, mais quand on cumule le temps de tri (surtout quand on a la gachette facile avec le numérique) et le temps de post-traitement, ça finit par faire beaucoup de dizaines de minutes... pour avoir un résultat correct.

Je suis d'accord et ce fut le piège dans lequel je suis tombé.
Je me suis mis à l'argentique par curiosité : j'ai vite compris que cela oblige à avoir l'oeil et ne pas déclencher comme un sauvage en comptant sur la quantité pour avoir de la qualité.
Cette expérience m'a servi par la suite dans le numérique et j'ai gagné en temps mais aussi en espace de stockage.