Le plus spectaculaire est particulièrement grand (15,4 cm) et possède une plume capotée (ou semi-capotée?).
Il a été fabriqué dans la deuxième moitié des années 1940. Le corps est en plastique noir.
Il est marqué PAT . N° 499.083 MADE IN FRANCE
Il possède une belle agrafe mobile.
La plume est étroite, en acier doré marquée « Stephens, warranted 3 », avec une étoile dans un blason, et 08 dans un rectangle.
La plume de ce stylo étant abîmée au niveau des becs, je ne présenterai pas d’essai d’écriture.
L’autre stylo présenté , un Stephens 125, est neuf de stock ancien, dans son écrin (marqué également « Royal »), accompagné d’une notice-bon de garantie.
C’est un porte plume-encrier.
Le stylo proprement dit a une longueur de 14,1 cm.
Comme le Royal décrit ci dessus, le corps est en plastique noir et possède une agrafe mobile du même type. Il est entouré d’une bague en papier indiquant « STEPHENS 125 Prix imposé+TL » (ce qui permet, je crois, de le dater de la fin de la deuxième guerre mondiale).
La plume est en acier dorée marquée « Stephens Royal warranted 08 ». Elle n’a pas de qualité particulière et ne laisse pas de sensation inoubliable à l’usage (avis personnel, bien sûr).
Le corps sert de réservoir comme les eyedroppers (cf. les Baignol Tanks).
L’encrier mesure 12,2 cm de longueur, est fermé par un bouchon à vis et possède, comme le stylo, un capuchon qui fait toute son originalité. Il est aussi doté d’une fenêtre de vision de la couleur et du niveau d’encre. Le corps de l’encrier est entouré d’une bague en papier indiquant la couleur de l’encre (BLEU-RADIO).
Ces deux stylos ont, selon moi, un charme certain. Ils ont un style très « anglais » fait de chic sobre et cosy, et d’originalité. Ils me font penser à Winston Churchill (et à ses cigares). Mais leurs plumes (comme celles de mes autres Stephens) sont assez décevantes.
Hommage à Christof
