Des quelques encres essayées, j'en suis venue à la conclusion qu'il faut que le flacon soit utile, agréable à utiliser jusqu'à la dernière goutte. Si c'est accompagné d'esthétique, pourquoi ne pas concilier l'utile à l'agréable ? Les fabricants devraient tous penser à ce genre de détails.
Pour moi, ce sont actuellement les flacons Pilot/Namiki classiques (50 et 70 mL; pas les Iroshizuku) grâce à l'intégration de l'ink miser (que j'appelle le vase flottant, ce qui est plus poétique que "le machin-truc-bidule-en-plastoc-trop-de-la-mort-qui-tue-et-qui-flotte"

), comme il a été dit plus haut, et ça, ça change bien la donne.
Ensuite, vient ceux de Waterman avec sa forme géométrique singulière mais la stabilité sur les faces spéciales laisse à désirer. Et il n'y a pas d'ink miser dans l'histoire (mais à quoi bon faire une forme géométrique pour aider le remplissage dans ce cas ?)
Pelikan 4001 et consort : bof bof...
Herbin (30ML) : le concept, c'est de verser directement le contenu du flacon dans le stylo plume... à condition que ce dernier soit un eyedropper et qu'on aies oublier seringues et compte-gouttes.
Aurora : joli flacon sobre dans mes souvenirs, mais ce n'est pas folichon, dans le fond (du flacon, j'entends

)
Parker : esthétiquement aussi démoder que pour le remplissage, même si l'ouverture est assez grande.
Comme quoi, à force d'écrire, et de remplissages de stylo, on finit par avoir de la bouteille et surtout de ne plus se faire un sang d'encre.
Açores, tu nous fais le même SDD la semaine pour les papiers ? Je pense que je pourrais encore m'éclater.
