Montblanc Writers Edition Jules Verne— Limited Edition 18 500
Posté : 05 août 2022 10:24
Introduction
Depuis 1992, la série Écrivains (Writers Edition) rend hommage chaque année à de grands écrivains et auteurs des temps passés, à leur vie et à leur œuvre et en 2003, c’est le célèbre auteur français, précurseur de la science-fiction, Jules Verne qui a été choisi par Montblanc.
Chaque fois qu’une bonne occasion se présente pour acquérir un ancien stylo, en état neuf et complet, qui me plaît et dont j’apprécie l’œuvre, je me laisse tenter d’autant plus que certains modèles sont assez recherchés et se vendent très rapidement. C’est le cas avec le Jules Verne avec sa magnifique laque sur le corps et le capuchon.
Ce modèle est limité à 18 500 exemplaires pour le stylo-plume. Il est disponible également en bille (12 000 exemplaires) ainsi que dans un set composé de la plume, de la bille et d’un porte-mine (4 500 exemplaires).
Coffret et son contenu
Caractéristique de la série des Écrivains, le coffret se présente sous la forme d’un livre enfermé dans une boîte en carton et protégé par une surboîte. On retrouve également un petit livret explicatif ainsi que la garantie et une carte sur laquelle est écrit le numéro du stylo.




Une fois le coffret/livre ouvert, on trouve le stylo-plume dans son emplacement réservé au milieu.

Découverte du stylo
Le stylo est en métal laqué d’un bleu éclatant et profond sur un fond guilloché avec un effet de vague et les attributs sont en plaqués platine.



On retrouve la signature de Jules Verne sur le capuchon ainsi que l’emblème de la marque sur le dessus. Le numéro du modèle est également gravé à côté de l’agrafe.


J’aime beaucoup cette laque avec un magnifique bleu dont les reflets varient en fonction de la lumière et ce motif guilloché en forme de vague.


La plume en or massif 18k rhodiée est gravée d’un casque ancien de scaphandrier en référence au roman de Jules Verne, 20 000 lieues sous les mers. On retrouve également une référence au roman et à ce casque de scaphandrier au niveau du capuchon, dont la forme en haut, rappelle celle d’un scaphandre.





Le stylo en chiffres
Le thème choisi par Montblanc pour le design de son stylo est celui du roman de Jules Verne, 20 000 lieues sous les mers. On retrouve ce thème dans la couleur de laque utilisée pour recouvrir le corps et le capuchon du stylo ainsi que dans la gravure de la plume du stylo, représentant un casque ancien de scaphandrier. La forme du haut du capuchon est également celle d’un scaphandre.
On s’arrête là dans les symboliques dont Montblanc agrémente ses stylos en plus grand nombre seulement depuis quelques années. Les premiers modèles étaient beaucoup plus classiques.
Prise en main
Le stylo étant en métal, son poids est plus élevé qu’un stylo en résine, mais dans la moyenne basse des éditions limitées Montblanc une fois le capuchon dévissé. Le stylo est parfaitement équilibré et il tient bien en main, avec une section en résine pour plaire en réfractaire des sections métalliques et avec une forme incurvée vers l’intérieur pour épouser au mieux la forme des doigts. La plume est une plume #6 comme sur la majorité des modèles de Montblanc. Ici, il s’agit d’une plume M très agréable, avec un débit régulier et une générosité normale, afin d’avoir un trait dans les normes d’une plume M européenne, en tout cas avec l’encre utilisée (la Montblanc Leo Tolstoy Sky blue).
Et comme on peut le voir ici, c’est le parfait compagnon des goûters et autres gourmandises


Tests d’écriture
Avant de conclure cet essai, procédons à quelques tests d’écriture avec le stylo et sa plume.
En 2003, Montblanc n’avait pas encore lancé son équipe marketing sur la piste des encres à tout-va pour créer une encre pour chaque stylo qu’ils sortent (et même si une encre Jules Verne existait, il serait sûrement impossible d’en trouver encore aujourd’hui ou à prix raisonnable). J’ai choisi de l’encrer avec la Montblanc Leo Tolstoy Sky blue. Je trouve qu’elle s’accorde bien avec la couleur de la laque avec une belle couleur sur le papier et un léger effet d’ombrage, lorsque je l’utilisais dans mon Einstein.









La première page a été écrite sur du papier Tomoe River 68 g/m² crème/ivoire comme les précédents tests depuis quelque temps tandis que les citations sur les photos suivantes ont été écrites sur un carnet Montblanc (le Sir Arthur Conan Doyle) et son papier « Premium » selon les mots de Montblanc, blanc et ligné avec un grammage de 85 g/m² de qualité inférieure aux précédents carnets, que j’ai déjà évoqués sur le forum dans différents postes, avec des problèmes de feathering et de bleeding m’obligeant à n’écrire que sur une des deux faces des pages.
L’écriture se fait sans problème, la plume glisse sur le papier sans ratés, mais tout en gardant le contrôle (on ne dérape pas comme sur du verglas), avec un débit constant et un beau résultat sur le papier. La plume ne possède pas de flex ni de souplesse, elle est rigide comme le sont les plumes modernes de Montblanc en général, mais cela me convient parfaitement. Ce sont ces types de plumes qui me conviennent le mieux et me permettent d’écrire le mieux.
Depuis 1992, la série Écrivains (Writers Edition) rend hommage chaque année à de grands écrivains et auteurs des temps passés, à leur vie et à leur œuvre et en 2003, c’est le célèbre auteur français, précurseur de la science-fiction, Jules Verne qui a été choisi par Montblanc.
Chaque fois qu’une bonne occasion se présente pour acquérir un ancien stylo, en état neuf et complet, qui me plaît et dont j’apprécie l’œuvre, je me laisse tenter d’autant plus que certains modèles sont assez recherchés et se vendent très rapidement. C’est le cas avec le Jules Verne avec sa magnifique laque sur le corps et le capuchon.
Ce modèle est limité à 18 500 exemplaires pour le stylo-plume. Il est disponible également en bille (12 000 exemplaires) ainsi que dans un set composé de la plume, de la bille et d’un porte-mine (4 500 exemplaires).
Coffret et son contenu
Caractéristique de la série des Écrivains, le coffret se présente sous la forme d’un livre enfermé dans une boîte en carton et protégé par une surboîte. On retrouve également un petit livret explicatif ainsi que la garantie et une carte sur laquelle est écrit le numéro du stylo.




Une fois le coffret/livre ouvert, on trouve le stylo-plume dans son emplacement réservé au milieu.

Découverte du stylo
Le stylo est en métal laqué d’un bleu éclatant et profond sur un fond guilloché avec un effet de vague et les attributs sont en plaqués platine.



On retrouve la signature de Jules Verne sur le capuchon ainsi que l’emblème de la marque sur le dessus. Le numéro du modèle est également gravé à côté de l’agrafe.


J’aime beaucoup cette laque avec un magnifique bleu dont les reflets varient en fonction de la lumière et ce motif guilloché en forme de vague.


La plume en or massif 18k rhodiée est gravée d’un casque ancien de scaphandrier en référence au roman de Jules Verne, 20 000 lieues sous les mers. On retrouve également une référence au roman et à ce casque de scaphandrier au niveau du capuchon, dont la forme en haut, rappelle celle d’un scaphandre.





Le stylo en chiffres
- Poids total (encré) : 63,4 g
- Poids sans le capuchon (encré) : 34,2 g
- Poids du capuchon : 29,2 g
- Longueur totale : 140 mm
- Longueur sans le capuchon : 127 mm
- Longueur du capuchon : 67 mm
- Longueur de la section : 23 mm
- Longueur de la plume : 22 mm
- Largeur du capuchon (avec le clip) : 19 mm
- Largeur du corps (max) : 14 mm
- Largeur de la section : 10 mm
Le thème choisi par Montblanc pour le design de son stylo est celui du roman de Jules Verne, 20 000 lieues sous les mers. On retrouve ce thème dans la couleur de laque utilisée pour recouvrir le corps et le capuchon du stylo ainsi que dans la gravure de la plume du stylo, représentant un casque ancien de scaphandrier. La forme du haut du capuchon est également celle d’un scaphandre.
On s’arrête là dans les symboliques dont Montblanc agrémente ses stylos en plus grand nombre seulement depuis quelques années. Les premiers modèles étaient beaucoup plus classiques.
Prise en main
Le stylo étant en métal, son poids est plus élevé qu’un stylo en résine, mais dans la moyenne basse des éditions limitées Montblanc une fois le capuchon dévissé. Le stylo est parfaitement équilibré et il tient bien en main, avec une section en résine pour plaire en réfractaire des sections métalliques et avec une forme incurvée vers l’intérieur pour épouser au mieux la forme des doigts. La plume est une plume #6 comme sur la majorité des modèles de Montblanc. Ici, il s’agit d’une plume M très agréable, avec un débit régulier et une générosité normale, afin d’avoir un trait dans les normes d’une plume M européenne, en tout cas avec l’encre utilisée (la Montblanc Leo Tolstoy Sky blue).
Et comme on peut le voir ici, c’est le parfait compagnon des goûters et autres gourmandises



Tests d’écriture
Avant de conclure cet essai, procédons à quelques tests d’écriture avec le stylo et sa plume.
En 2003, Montblanc n’avait pas encore lancé son équipe marketing sur la piste des encres à tout-va pour créer une encre pour chaque stylo qu’ils sortent (et même si une encre Jules Verne existait, il serait sûrement impossible d’en trouver encore aujourd’hui ou à prix raisonnable). J’ai choisi de l’encrer avec la Montblanc Leo Tolstoy Sky blue. Je trouve qu’elle s’accorde bien avec la couleur de la laque avec une belle couleur sur le papier et un léger effet d’ombrage, lorsque je l’utilisais dans mon Einstein.









La première page a été écrite sur du papier Tomoe River 68 g/m² crème/ivoire comme les précédents tests depuis quelque temps tandis que les citations sur les photos suivantes ont été écrites sur un carnet Montblanc (le Sir Arthur Conan Doyle) et son papier « Premium » selon les mots de Montblanc, blanc et ligné avec un grammage de 85 g/m² de qualité inférieure aux précédents carnets, que j’ai déjà évoqués sur le forum dans différents postes, avec des problèmes de feathering et de bleeding m’obligeant à n’écrire que sur une des deux faces des pages.
L’écriture se fait sans problème, la plume glisse sur le papier sans ratés, mais tout en gardant le contrôle (on ne dérape pas comme sur du verglas), avec un débit constant et un beau résultat sur le papier. La plume ne possède pas de flex ni de souplesse, elle est rigide comme le sont les plumes modernes de Montblanc en général, mais cela me convient parfaitement. Ce sont ces types de plumes qui me conviennent le mieux et me permettent d’écrire le mieux.