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Bonjour à tous,

Voici quelques images d'un Omas 556 Extra ; il n'est pas très gros, 142 mm fermé pour 13 mm au plus large.

Il remonte au milieu des années 50 et son corps, autrefois vert olive, semble porter la couronne argentée de l'âge, dont parle le vieil Horace...

Mais sa plume 585 en or, stub, a gardé la vigueur et la souplesse de ses jeunes années....



Voici :













Juteuse à souhait !






Encre Faber-Castell Viper Green - Papier vergé épais (100 grammes ? )

Une belle prise !

Je te remercie, LYTH ; inutile de te dire que j'en suis très content.

J'ai découvert ces plumes souples grâce au forum, et je m'amuse avec comme un gamin....

Bonne pioche, les Omas vintage sont souvent des merveilles !

Quelle plume !
Félicitations Stylograf

LYTH a écrit : ↑15 juil. 2022 16:01 Une belle prise !

+1

La plume est très sympa : tu vas pouvoir t'amuser avec !
Le corps était vert olive uniforme avant ? Et les bandes résultent de quoi exactement ? (ouch, mon français ! Et pourtant je lis Toltotoll en ce moment)

Merci pour la présentation, la plume semble joueuse à souhait ! Bon amusement avec ce vénérable Omas!

grindsel a écrit : ↑15 juil. 2022 18:08 (ouch, mon français ! Et pourtant je lis Toltotoll en ce moment)

Wow!

benji.57 a écrit : ↑15 juil. 2022 18:18

grindsel a écrit : ↑15 juil. 2022 18:08 (ouch, mon français ! Et pourtant je lis Toltotoll en ce moment)

Sans rire, "Opus 77" ...génial !

Merci beaucoup, Grindsel !

Il est charmant, cet Omas. Belle trouvaille.
Curieux, cette décoloration en plusieurs tranches. On croit repérer la zone de stockage de l'encre au milieu. Mais pourquoi la section est-elle si sombre ? Je veux dire que ce n'est pas la lumière qui a décoloré le corps comme pour l'ebonite, mais bien l'encre qui semble avoir oxydé le celluloid.

Belle flexibilité

Merci à tous !

toltotoll a écrit : ↑16 juil. 2022 06:34
Curieux, cette décoloration en plusieurs tranches. On croit repérer la zone de stockage de l'encre au milieu. Mais pourquoi la section est-elle si sombre ? Je veux dire que ce n'est pas la lumière qui a décoloré le corps comme pour l'ebonite, mais bien l'encre qui semble avoir oxydé le celluloid.

Oui, le premier réflexe a été d'accuser les UV B, qui avaient une bonne tête de coupables ; seulement la césure est nette, elle ne correspond pas au bord du capuchon, et en outre, il s'agit non pas d'un simple changement de profondeur de ton, mais d'un changement de couleur. Cela sent donc la réaction chimique, qui ne peut avoir été provoquée que par l'encre..... Lorsque j'ai rincé le stylo avant utilisation, il y avait des traces d'encre bleu nuit, de mémoire..........


Ceci posé, ces altérations dues à l'âge ont leur charme ; "Wabi-sabi", disait récemment Silverado, je crois........... Et puis, pour être honnête, moi non plus, je ne suis plus exactement à l'état neuf Au fond, cet Omas et moi sommes assortis.

Une stub flex !!