Visconti : pourquoi je préfère ses films.
Posté : 05 juin 2022 17:26
Vous pourrez trouver un essai complet de ce stylo ici :
viewtopic.php?f=26&t=17087
Je vais vous narrer mon aventure, avec le service clientèle de cette "prestigieuse" maison.
Etant tombé sous le charme de leur agrafe inspirée du « Ponte Veccio » (dont le nom me rappelait l’excellente pizzeria de ma jeunesse, où les « genovese » étaient si bonnes), je commandais un « Mirage Night Blue » à la plume large. Je profitais au passage de 15 % de remise sur leur site pour une première commande.
Je reçus le stylo le lendemain mercredi 20 avril.
Le stylo semblait solide, avec son capuchon magnétique et sa résine, qui me sembla un peu en dessous de ce que proposent les autres fabricants, y compris chinois. Mais je mis ça sur le compte de son épaisseur incompatible avec une certaine finesse et transparence. Au moins le stylo serait solide.
J’essayai le stylo. Je savais que Visconti avait eu beaucoup de problèmes avec la finition de leurs plumes en or, mais cette plume en acier B glissait très correctement sur le papier.
C’est en m’intéressant au système de fermeture du capuchon, que j’aperçus un défaut au sommet.
Il y avait un « manque » de résine au niveau de l’agrafe (voir photo).
Je décidai de contacter la société par l’intermédiaire du formulaire présent sur le site.
La réponse tomba le lendemain : on allait m’envoyer par mel un bon retour UPS pour échange.
Nous étions jeudi.
Rien ne se passa à la fin de cette semaine, malgré des tentatives de communication écrite (avec la photo du défaut).
C’est le mardi 26 avril qu’une amie (qui parle anglais) arriva à contacter le service clientèle par téléphone, qui se confondit en excuses et assura qu’après une réunion, on allait immédiatement prendre rendez-vous avec moi, pour un retour du Mirage.
J’avais précisé entre temps que je ne voulais plus du stylo et que je préférais un remboursement.
Aucune nouvelle !
Le jeudi 28 avril j’envoyai un mel dont l’objet était : Paypal dispute ?
Et là miracle, le 29 je reçus le bon retour.
Le stylo fut déposé le lendemain dans un dépôt DHL (ce n'était plus UPS).
Le mardi, j'envoyai une copie de l’accusé de réception au service clientèle, en réclamant le remboursement qui devait être effectif dés réception.
Et là on me répondit qu’ils avaient un mois pour le faire conformément à leurs clauses de vente.
Je fus remboursé le 12 mai.
L’agrafe Ponte Veccio s’était transformée en Pont des Soupirs.
Conclusion :
Je pensais encore naïvement qu’une société qui vendait du luxe (145 euros pour leur « bas de gamme » ! ), devait inclure un service clientèle à l’écoute et surtout réactif.
Sans la menace d’un recours Paypal, je serais encore à attendre mon bon retour.
Il m’est arrivé la même chose sur un stylo Baoer à 2,50 euros ; on m’a remboursé immédiatement.
J’avais envisagé, dés que l’occasion se présenterait, d’acquérir un « Homo Sapiens ». L’envie m’en a étrangement passé.
Allons plutôt voir (ou revoir) « Le guépard » ...
Photos :




Note du rédacteur : il n'y a rien à voir bien sûr, entre cette manufacture venue à la fabrication de stylos tardivement et le grand réalisateur de cinéma.
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Je vais vous narrer mon aventure, avec le service clientèle de cette "prestigieuse" maison.
Etant tombé sous le charme de leur agrafe inspirée du « Ponte Veccio » (dont le nom me rappelait l’excellente pizzeria de ma jeunesse, où les « genovese » étaient si bonnes), je commandais un « Mirage Night Blue » à la plume large. Je profitais au passage de 15 % de remise sur leur site pour une première commande.
Je reçus le stylo le lendemain mercredi 20 avril.
Le stylo semblait solide, avec son capuchon magnétique et sa résine, qui me sembla un peu en dessous de ce que proposent les autres fabricants, y compris chinois. Mais je mis ça sur le compte de son épaisseur incompatible avec une certaine finesse et transparence. Au moins le stylo serait solide.
J’essayai le stylo. Je savais que Visconti avait eu beaucoup de problèmes avec la finition de leurs plumes en or, mais cette plume en acier B glissait très correctement sur le papier.
C’est en m’intéressant au système de fermeture du capuchon, que j’aperçus un défaut au sommet.
Il y avait un « manque » de résine au niveau de l’agrafe (voir photo).
Je décidai de contacter la société par l’intermédiaire du formulaire présent sur le site.
La réponse tomba le lendemain : on allait m’envoyer par mel un bon retour UPS pour échange.
Nous étions jeudi.
Rien ne se passa à la fin de cette semaine, malgré des tentatives de communication écrite (avec la photo du défaut).
C’est le mardi 26 avril qu’une amie (qui parle anglais) arriva à contacter le service clientèle par téléphone, qui se confondit en excuses et assura qu’après une réunion, on allait immédiatement prendre rendez-vous avec moi, pour un retour du Mirage.
J’avais précisé entre temps que je ne voulais plus du stylo et que je préférais un remboursement.
Aucune nouvelle !
Le jeudi 28 avril j’envoyai un mel dont l’objet était : Paypal dispute ?
Et là miracle, le 29 je reçus le bon retour.
Le stylo fut déposé le lendemain dans un dépôt DHL (ce n'était plus UPS).
Le mardi, j'envoyai une copie de l’accusé de réception au service clientèle, en réclamant le remboursement qui devait être effectif dés réception.
Et là on me répondit qu’ils avaient un mois pour le faire conformément à leurs clauses de vente.
Je fus remboursé le 12 mai.
L’agrafe Ponte Veccio s’était transformée en Pont des Soupirs.
Conclusion :
Je pensais encore naïvement qu’une société qui vendait du luxe (145 euros pour leur « bas de gamme » ! ), devait inclure un service clientèle à l’écoute et surtout réactif.
Sans la menace d’un recours Paypal, je serais encore à attendre mon bon retour.
Il m’est arrivé la même chose sur un stylo Baoer à 2,50 euros ; on m’a remboursé immédiatement.
J’avais envisagé, dés que l’occasion se présenterait, d’acquérir un « Homo Sapiens ». L’envie m’en a étrangement passé.
Allons plutôt voir (ou revoir) « Le guépard » ...
Photos :




Note du rédacteur : il n'y a rien à voir bien sûr, entre cette manufacture venue à la fabrication de stylos tardivement et le grand réalisateur de cinéma.
