Majohn M800.
Posté : 27 avr. 2022 19:13
Bonjour cruciverbistes et autres.
Je reviendrai une autre fois sur mon expérience avec la maison Visconti, quand le problème sera réglé (s'il l'est un jour
).
En attendant, voici un nouvel instrument que je trouve fort réussi, leMoonman Majohn M800, grand stylo de 14 cm fermé.
Il est réalisé dans une jolie résine presque transparente.
Son prix varie entre 35 et 60 euros suivant le type de plume montée (Bock ou de la marque).
J'entends déjà des voix (tel Jeanne d'Arc) crier au clonage.
Je démontrerai sans difficulté qu'il s'agit d'un hommage, mais pas au Leonardo Momento Zero (dont vous trouverez de nombreux essais complets sur ce forum).
Vous voulez des photos

La même résine que son cousin Conklin Duragraph.

En morceaux. Il peut être alimenté par convertisseur fourni, ou cartouches internationales.

Avec un lointain cousin, l'Omas Bologna (vive la roulette
).

Et si nous revenions aux origines ? Au commencement était le Wahl-Eversharp Gold Seal Equipoised et le Doric (1929-1934) qui ont "discrètement inspiré" une jeune société italienne (Leonardo) et aussi nos camarades de Majohn. Le stylo est photographié ici sur une page de l'excellent ouvrage "Un amour de stylo" de Guéno, Lussato, Tatsuno ( ed. Laffont, Musée de la Poste), qui mériterait un post à lui tout seul, pour d'autres raisons plus dramatiques.

Par facétie, j'ai remplacé la plume trop fine d'origine par une plume B Leonardo, achetée il y a quelques années. Et là ... en démontant la plume de son précédent porteur, j'ai pu constater que le placage ... oui.

Le reste de placage sur le précédent conduit. Je vais finir par tout enlever. Je précise qu'elle a été en contact avec des encres tout à fait ordinaires.

Et il écrit.

Conclusion :
Voila un beau stylo qui vient de loin.
J'aime sa résine ambrée. J'en ai commandé un second en bleu.
C'est en sciant que Léonard devint scie (moi elle me fait toujours rire
).
Merci pour vos lectures pointilleuses.
Je reviendrai une autre fois sur mon expérience avec la maison Visconti, quand le problème sera réglé (s'il l'est un jour

En attendant, voici un nouvel instrument que je trouve fort réussi, le
Il est réalisé dans une jolie résine presque transparente.
Son prix varie entre 35 et 60 euros suivant le type de plume montée (Bock ou de la marque).
J'entends déjà des voix (tel Jeanne d'Arc) crier au clonage.
Je démontrerai sans difficulté qu'il s'agit d'un hommage, mais pas au Leonardo Momento Zero (dont vous trouverez de nombreux essais complets sur ce forum).



Vous voulez des photos


La même résine que son cousin Conklin Duragraph.

En morceaux. Il peut être alimenté par convertisseur fourni, ou cartouches internationales.

Avec un lointain cousin, l'Omas Bologna (vive la roulette


Et si nous revenions aux origines ? Au commencement était le Wahl-Eversharp Gold Seal Equipoised et le Doric (1929-1934) qui ont "discrètement inspiré" une jeune société italienne (Leonardo) et aussi nos camarades de Majohn. Le stylo est photographié ici sur une page de l'excellent ouvrage "Un amour de stylo" de Guéno, Lussato, Tatsuno ( ed. Laffont, Musée de la Poste), qui mériterait un post à lui tout seul, pour d'autres raisons plus dramatiques.

Par facétie, j'ai remplacé la plume trop fine d'origine par une plume B Leonardo, achetée il y a quelques années. Et là ... en démontant la plume de son précédent porteur, j'ai pu constater que le placage ... oui.


Le reste de placage sur le précédent conduit. Je vais finir par tout enlever. Je précise qu'elle a été en contact avec des encres tout à fait ordinaires.

Et il écrit.

Conclusion :
Voila un beau stylo qui vient de loin.
J'aime sa résine ambrée. J'en ai commandé un second en bleu.
C'est en sciant que Léonard devint scie (moi elle me fait toujours rire



Merci pour vos lectures pointilleuses.