Montblanc 142
Posté : 02 déc. 2021 12:57
Il existe déjà une revue, mais dont les photos sont disparues ... 
J'ai acquis récemment ce tout petit Montblanc 142, à piston, lointain aïeul du Mozart actuel à cartouches.
Je me sens parfaitement à l'aise pour écrire longtemps avec lui, en insistant sur les downstrokes, et ce sans même le poster … La plume F flexible est formidable
Mon exemplaire porte la lettre O sur le bouton du piston.
Dans le fil de mopsletroll, LYTH indiquait que la lettre G était pour glatt, brillant. Mon exemplaire brille aussi … Que signifie ce O ? ; Si quelqu’un en connait le sens ?
C’est un tout petit stylo-plume des années 50 qui fonctionne à piston, contrairement au modèle Mozart et ses cartouches.
La plume de taille 5 ressort de 2 cm sur un conduit en ébonite ; Elle est fine et flexible.
Les dimensions sont :
- Longueur : 125 mm
- Longueur ouvert : 111 mm
- Longueur posté : 143 mm
- Diamètre du corps : 11 mm
- Diamètre de la section : 9 mm
- Poids total : 22 gr
- Poids du capuchon : 6 gr
Si quelqu'un a un modèle Mozart à portée de la main, je serais curieux de connaître le diamètre de son corps ; sur les photos, il me semble plus large que ce 142.
Le corps en celluloïd translucide porte la marque des ans, non pas tant qu’il soit esquinté mais plutôt très très usé.
En effet, si je ne détecte aucune marque de mauvais traitement, (le mécanisme à piston fut restauré par fountainbel,) les micro rayures sont nombreuses et les frottements des lèvres du capuchon ont totalement rendu opaque, à force de friction, le centimètre surplombant le pas de vis où doit figurer en théorie la fenêtre de visualisation du niveau de l’encre. A l'arrière du stylo, 3 millimètres d'abrasion font office de preuve d'innombrables postages dont la conséquence est un enfoncement du celluloïd perceptible au toucher. L’étoile a également pris la tonalité ivoire qui m’a toujours attiré sur les photographies de Montblanc vintages.
Toutes ces preuves d’un long usage attentif me laissent imaginer qu’il a dû être beaucoup aimé, peut être durant 50 ou 60 années, par une propriétaire que je me plais à imaginer féminine, vu le gabarit du stylo-plume.
J'ai acquis récemment ce tout petit Montblanc 142, à piston, lointain aïeul du Mozart actuel à cartouches.
Je me sens parfaitement à l'aise pour écrire longtemps avec lui, en insistant sur les downstrokes, et ce sans même le poster … La plume F flexible est formidable
Mon exemplaire porte la lettre O sur le bouton du piston.
Dans le fil de mopsletroll, LYTH indiquait que la lettre G était pour glatt, brillant. Mon exemplaire brille aussi … Que signifie ce O ? ; Si quelqu’un en connait le sens ?
C’est un tout petit stylo-plume des années 50 qui fonctionne à piston, contrairement au modèle Mozart et ses cartouches.
La plume de taille 5 ressort de 2 cm sur un conduit en ébonite ; Elle est fine et flexible.
Les dimensions sont :
- Longueur : 125 mm
- Longueur ouvert : 111 mm
- Longueur posté : 143 mm
- Diamètre du corps : 11 mm
- Diamètre de la section : 9 mm
- Poids total : 22 gr
- Poids du capuchon : 6 gr
Si quelqu'un a un modèle Mozart à portée de la main, je serais curieux de connaître le diamètre de son corps ; sur les photos, il me semble plus large que ce 142.
Le corps en celluloïd translucide porte la marque des ans, non pas tant qu’il soit esquinté mais plutôt très très usé.
En effet, si je ne détecte aucune marque de mauvais traitement, (le mécanisme à piston fut restauré par fountainbel,) les micro rayures sont nombreuses et les frottements des lèvres du capuchon ont totalement rendu opaque, à force de friction, le centimètre surplombant le pas de vis où doit figurer en théorie la fenêtre de visualisation du niveau de l’encre. A l'arrière du stylo, 3 millimètres d'abrasion font office de preuve d'innombrables postages dont la conséquence est un enfoncement du celluloïd perceptible au toucher. L’étoile a également pris la tonalité ivoire qui m’a toujours attiré sur les photographies de Montblanc vintages.
Toutes ces preuves d’un long usage attentif me laissent imaginer qu’il a dû être beaucoup aimé, peut être durant 50 ou 60 années, par une propriétaire que je me plais à imaginer féminine, vu le gabarit du stylo-plume.
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