Conway Sterwart model 100 Emerald Green
Posté : 12 nov. 2021 13:55
Conway Sterwart model 100 Emerald Green

L’histoire de Conway Stewart est faite de haut, de bas et … de faillites.
Elle est fondée en 1904 à Londres par Frank Jarvis et Thomas Garner.
Prospère dans les années 20, elle devient publique en 1935, passe des moments très difficiles dans les années 40 pour retrouver de sa superbe dans les années 50. Déclin irrémédiable dans les années 60 qui mène à la faillite en 1975. Relancée dans les années 1990, elle est placée en redressement judiciaire en 2014. La Bespoke British en reprend les droits et relance la production.
Toujours en 2014, E. Caltagirone enregistre la marque pour les USA via la société The PenFamilly.
(Les experts de la marque me corrigeront au nécessaire).
Ce Conway Stewart model 100 Emerald Green est produit et distribué via le réseau d’E. Caltagirone et n’a plus grand-chose de British.


Le stylo reprend les formes et dimensions bien connues du model 100. Il est fait de résine verte dite « spaghetti » pour ses rayures longitudinales.
Ces résines sont uniques et peuvent être totalement différentes d’un stylo à un autre, on peut passer sans transition de zones claires et aux reflets nacrés à d’autres très foncées. Je ne peux conseiller qu’un achat en « live » car la déception pourrait être grande entre des photos sur site et le stylo reçu.







La plume (M) en acier s’avère d’une extrême douceur, bien aidée par un excellent débit mais reste assez rigide. La largueur du trait est généreuse. Je trouve les gravures laser pas des plus réussies. En revanche, cette plume est de belle taille pour donner un ensemble harmonieux.
Long; fermé : 13,8 cm
Long. ouvert : 12,4 cm
Diam. du corps (au plus fort) : 13,9 mm
Poids : 22g.


Comparaison avec la plume du M600 !




Le capuchon se visse sur un tour complet.
L’alimentation du stylo se fait soit par cartouche, soit par convertisseur (fourni avec le stylo).
Petite bizarrerie, ce convertisseur reçoit une pièce métallique recouvrant la molette supérieure (style convertisseur Leonardo) qui n’a aucune utilité, la partie supérieure du stylo étant un faux bouton de remplissage ne se dévissant pas.





L’histoire de Conway Stewart est faite de haut, de bas et … de faillites.
Elle est fondée en 1904 à Londres par Frank Jarvis et Thomas Garner.
Prospère dans les années 20, elle devient publique en 1935, passe des moments très difficiles dans les années 40 pour retrouver de sa superbe dans les années 50. Déclin irrémédiable dans les années 60 qui mène à la faillite en 1975. Relancée dans les années 1990, elle est placée en redressement judiciaire en 2014. La Bespoke British en reprend les droits et relance la production.
Toujours en 2014, E. Caltagirone enregistre la marque pour les USA via la société The PenFamilly.
(Les experts de la marque me corrigeront au nécessaire).
Ce Conway Stewart model 100 Emerald Green est produit et distribué via le réseau d’E. Caltagirone et n’a plus grand-chose de British.


Le stylo reprend les formes et dimensions bien connues du model 100. Il est fait de résine verte dite « spaghetti » pour ses rayures longitudinales.
Ces résines sont uniques et peuvent être totalement différentes d’un stylo à un autre, on peut passer sans transition de zones claires et aux reflets nacrés à d’autres très foncées. Je ne peux conseiller qu’un achat en « live » car la déception pourrait être grande entre des photos sur site et le stylo reçu.







La plume (M) en acier s’avère d’une extrême douceur, bien aidée par un excellent débit mais reste assez rigide. La largueur du trait est généreuse. Je trouve les gravures laser pas des plus réussies. En revanche, cette plume est de belle taille pour donner un ensemble harmonieux.
Long; fermé : 13,8 cm
Long. ouvert : 12,4 cm
Diam. du corps (au plus fort) : 13,9 mm
Poids : 22g.


Comparaison avec la plume du M600 !




Le capuchon se visse sur un tour complet.
L’alimentation du stylo se fait soit par cartouche, soit par convertisseur (fourni avec le stylo).
Petite bizarrerie, ce convertisseur reçoit une pièce métallique recouvrant la molette supérieure (style convertisseur Leonardo) qui n’a aucune utilité, la partie supérieure du stylo étant un faux bouton de remplissage ne se dévissant pas.



