AURORA Oceano Atlantico L.E. 444/480
Posté : 28 mars 2021 17:01
Salut, les calamophiles !
Comme annoncé ici, je viens vous présenter l’AURORA Oceano Atlantico pour lequel j’ai récemment craqué !

Ce stylo est issu de la collection « Oceani », qui regroupe cinq modèles, évoquant les cinq océans au moyen des teintes marbrées de vagues de l’Auroloïde utilisée (dénomination propre à AURORA de l’acétate de cellulose).
La couleur dominante de chaque modèle est ainsi liée à l’océan évoqué : gris avec de fin filets bleus pour l’Arctique, mauve pour l’océan Indien, verdâtre pour le Pacifique, bleu saphir pour l’Atlantique et turquoise clair pour l’Antarctique.
L’Atlantico se pare donc de marbrures bleues plus ou moins foncées, de parties très claires, comme nacrées, et aussi de reflets violacés.
Je l’ai encré en Éclat de Saphir de Herbin. L’Edelstein Sapphire lui va très bien également !
Franchement, je suis bluffé par la beauté de ce celluloïd !


Il s’agit d’une édition limitée et numérotée de 480 exemplaires ; le mien porte le numéro 444.

Produit en 2019, en même temps que de nombreux modèles spéciaux présentés cette année-là par la marque Turinoise à l’occasion de son centième anniversaire, mon exemplaire a bénéficié des emballages spécifiques de ce centenaire, qui inclut notamment un flacon d’encre.



Ce stylo a été développé au départ de l’Optima bien connu de tous. Il en adopte le profil général et les dimensions, la fenêtre de visualisation et, comme lui, il se remplit d’encre au moyen d’un piston.

Le poids, par contre, passe presque du simple au double (une bonne vingtaine de grammes pour l’Optima contre 42 ou 43 pour l’Oceano). La raison principale de cette prise de poids consiste dans le choix de l’argent massif 925/1000èmes pour la section et l’ensemble des attributs (sommet du capuchon, blind cap, bagues et agrafe).


Vous le remarquerez sur les photos, l’argent a noirci pendant les deux années que ce stylo a passées dans son coffret (achat NOS). J’hésite à le nettoyer car ces traces de vieillissement ne me déplaisent pas. Wabi Sabi !
La plume rhodiée qui équipe cet Atlantico est en or 18 cts, comme c’est l’usage sur les séries spéciales de la marque.


Au risque de me répéter puisque je crois l’avoir déjà évoqué ici, la version 14 cts (réservée aux gammes régulières telles que l’Optima ou l’Ottantotto) m’est souvent apparue comme plus agréable que la 18, offrant habituellement plus de feedback, de ressenti à l’écriture.
Pour cet Oceano Atlantico, j’ai opté pour une F – Flex, que la marque propose sans supplément de prix.
Elle adopte donc ici le profil particulier que Hobiecat avait épinglé ici, dans sa revue du 88 Anniversario vert.

Le flex annoncé est bien présent, offrant un léger écartement des becs en écriture normale, c'est-à-dire sans générer d’appui particulier.
L’élargissement du trait devient plus sensible au fur et à mesure de l’accroissement de la pression sur la plume, mais sans avoir à forcer comme un bœuf !

Alors certes, on n’atteint pas le niveau de certaines plumes vintage, mais cette flexibilité me paraît en tout cas largement suffisante pour se faire plaisir au quotidien et donner un peu de caractère à son écriture, sans transformer chaque prise de notes en exercice calligraphique.
Au quotidien, c’est du reste surtout la grande souplesse de la plume que l’on retiendra et appréciera.
Allez, je termine par une "spéciale dédicace" d'encouragement pour notre chère Misko, avec cette fameuse agrafe à boule !

Merci de votre bonne attention !
Comme annoncé ici, je viens vous présenter l’AURORA Oceano Atlantico pour lequel j’ai récemment craqué !


Ce stylo est issu de la collection « Oceani », qui regroupe cinq modèles, évoquant les cinq océans au moyen des teintes marbrées de vagues de l’Auroloïde utilisée (dénomination propre à AURORA de l’acétate de cellulose).

La couleur dominante de chaque modèle est ainsi liée à l’océan évoqué : gris avec de fin filets bleus pour l’Arctique, mauve pour l’océan Indien, verdâtre pour le Pacifique, bleu saphir pour l’Atlantique et turquoise clair pour l’Antarctique.
L’Atlantico se pare donc de marbrures bleues plus ou moins foncées, de parties très claires, comme nacrées, et aussi de reflets violacés.
Je l’ai encré en Éclat de Saphir de Herbin. L’Edelstein Sapphire lui va très bien également !
Franchement, je suis bluffé par la beauté de ce celluloïd !



Il s’agit d’une édition limitée et numérotée de 480 exemplaires ; le mien porte le numéro 444.


Produit en 2019, en même temps que de nombreux modèles spéciaux présentés cette année-là par la marque Turinoise à l’occasion de son centième anniversaire, mon exemplaire a bénéficié des emballages spécifiques de ce centenaire, qui inclut notamment un flacon d’encre.



Ce stylo a été développé au départ de l’Optima bien connu de tous. Il en adopte le profil général et les dimensions, la fenêtre de visualisation et, comme lui, il se remplit d’encre au moyen d’un piston.

Le poids, par contre, passe presque du simple au double (une bonne vingtaine de grammes pour l’Optima contre 42 ou 43 pour l’Oceano). La raison principale de cette prise de poids consiste dans le choix de l’argent massif 925/1000èmes pour la section et l’ensemble des attributs (sommet du capuchon, blind cap, bagues et agrafe).


Vous le remarquerez sur les photos, l’argent a noirci pendant les deux années que ce stylo a passées dans son coffret (achat NOS). J’hésite à le nettoyer car ces traces de vieillissement ne me déplaisent pas. Wabi Sabi !

La plume rhodiée qui équipe cet Atlantico est en or 18 cts, comme c’est l’usage sur les séries spéciales de la marque.


Au risque de me répéter puisque je crois l’avoir déjà évoqué ici, la version 14 cts (réservée aux gammes régulières telles que l’Optima ou l’Ottantotto) m’est souvent apparue comme plus agréable que la 18, offrant habituellement plus de feedback, de ressenti à l’écriture.
Pour cet Oceano Atlantico, j’ai opté pour une F – Flex, que la marque propose sans supplément de prix.
Elle adopte donc ici le profil particulier que Hobiecat avait épinglé ici, dans sa revue du 88 Anniversario vert.

Le flex annoncé est bien présent, offrant un léger écartement des becs en écriture normale, c'est-à-dire sans générer d’appui particulier.
L’élargissement du trait devient plus sensible au fur et à mesure de l’accroissement de la pression sur la plume, mais sans avoir à forcer comme un bœuf !


Alors certes, on n’atteint pas le niveau de certaines plumes vintage, mais cette flexibilité me paraît en tout cas largement suffisante pour se faire plaisir au quotidien et donner un peu de caractère à son écriture, sans transformer chaque prise de notes en exercice calligraphique.
Au quotidien, c’est du reste surtout la grande souplesse de la plume que l’on retiendra et appréciera.
Allez, je termine par une "spéciale dédicace" d'encouragement pour notre chère Misko, avec cette fameuse agrafe à boule !


Merci de votre bonne attention !
