Présentation Toutânkharton
Posté : 23 nov. 2020 10:05
Bonjour à tous,
Nouvelle inscrite sur le forum -enfin, disons que j'ai passé quelques années à le lire sans jamais y participer (oups), mais je me suis dit qu'il était temps de sauter le pas (enfin)- je me présente donc comme l'exige la coutume (et la politesse, au passage).
J'ai utilisé bien des stylos plumes pendant ma scolarité -comme nombre d'entre vous j'imagine- mais j'avais perdu l'habitude d'écrire avec cet instrument d'écriture depuis. Au cours d'une balade dans une papeterie ou librairie, il y a fort longtemps (vers 2008/2010), dans une galaxie pas si lointaine (probablement vers Nancy), un Parker Sonnet 2008 ciselé carbone m'avait tapé dans l’œil (aïe, je ne savais pas alors, pauvre de moi, à quel point ça allait faire mal -des années plus tard certes, et c'est plus ma CB que mon œil qui pleure, mais tout de même-). Étudiante alors, le budget était serré et j'avais su être raisonnable (je me demande bien quand et où j'ai perdu cette qualité ? Si quelqu'un la retrouve, faites-moi signe
).
Mais voilà, je l'ai gardé en tête pendant des années. Et puis j'en ai découvert un autre (mince !) -un Cross Année du Dragon- que je trouvais magnifique, bien que très cher. Et puis j'en ai découvert un autre (non je n'ai pas fait un malheureux copier-coller oublié à la relecture), un Cross encore, Année du Cheval cette fois-ci (je vous laisse deviner mon année de naissance, vous avez désormais assez d'indices).
Mais je n'ai pas cédé.
Cependant, j'en ai parlé à mon compagnon.
Il a donc eu l'idée, un Noël (2016 ou 2017, j'ai un doute), de m'offrir le Précieux, celui qui m'a tant fait mal aux yeux, à rebours dans un certain sens -bien que je connaisse désormais le point d'une des extrémités, je ne sais malheureusement pas où se trouve la deuxième limite, celle de mon dernier stylo-. Je crois que, s'il avait su dans quel engrenage il m'avait mis le doigt -et la CB-, il aurait trouvé un autre cadeau... (en fait j'en suis sûre, je lui ai posé la question
)
Et à partir de là...
.
.
.
Eh bien non, la contamination à la plumite-19 a un temps d'incubation variable selon les individus -les scientifiques n'ont toujours pas compris pourquoi d'ailleurs (peut être parce qu'ils ne cherchent pas)-. Il aura fallu attendre un autre moment décisif pour activer le virus chez moi, celui d'un autre Noël (2018), d'un autre stylo. Un Cross, célébrant mon année de naissance avec un petit cheval dessus (c'est mignon, vous ne trouvez pas ?).
Et là, les symptômes furent sans appel. Ma CB a fini en réanimation plusieurs fois, mais il semble que ce virus soit sacrément récalcitrant, à l'instar d'un de ses homologues en circulation actuellement (bien que celui-ci ait des répercussions autrement plus graves). Parker, Cross, et puis ce fut au tour des Montegrappa, Lamy, Caran d'Ache, Diplomat, Visconti, et plus récemment Sailor, Cartier (sans parler de ceux que j'attends, impatiemment, et qui viendront monter le compteur d'encore quelques points). Tellement de matières différentes, de styles, de poids, de tailles, de mécanismes !
Et puis -parce que bien évidemment un stylo seul, ce n'est pas drôle, et que ça ne pouvait pas s'arrêter là-, j'ai découvert les encres. Ça a commencé insidieusement, par une Parker, puis une Edelstein. Ensuite, j'ai découvert Les Autres. Sailor. KWZ. Diamine. Monteverde. Herbin. Montblanc. Colorverse. Lamy. Noodlers. Pilot. Etc. C'est résolument sans fin.
Et puis -parce que bien évidemment, un beau stylo avec une belle encre, c'est bien beau, mais sur du papier moleskine
ça a de quoi vous rebuter-, il a bien fallu chercher un papier qui saurait mettre tout ça en valeur. Ça commence gentiment avec du Rhodia, du Clairefontaine ou de l'Oxford. Et puis ça dérive, rapidement, sur le fameux Rivière Tomoe (vous savez, ces descriptions en anglais mal traduites sur Etsy...
). Et on se laisse prendre au jeu, et on cherche à tester d'autres choses, comme l'Orchid Paper ou le Cosmo Air Light... Si vous voyez la lumière au bout du tunnel, soyez sympa, prévenez-moi !
Je suis sûre qu'il doit y avoir une réunion de type AA avec un siège qui porte mon nom et qui m'attend patiemment. C'est donc très naturellement que je me décide à venir ici, haut-lieu de tentations en tous genres. Logique.
Sur ce, salut ! (je m'en retourne travailler, j'ai un salaire à gagner avant de pouvoir le dépenser en plumes en tout genres
)
S.
Nouvelle inscrite sur le forum -enfin, disons que j'ai passé quelques années à le lire sans jamais y participer (oups), mais je me suis dit qu'il était temps de sauter le pas (enfin)- je me présente donc comme l'exige la coutume (et la politesse, au passage).
J'ai utilisé bien des stylos plumes pendant ma scolarité -comme nombre d'entre vous j'imagine- mais j'avais perdu l'habitude d'écrire avec cet instrument d'écriture depuis. Au cours d'une balade dans une papeterie ou librairie, il y a fort longtemps (vers 2008/2010), dans une galaxie pas si lointaine (probablement vers Nancy), un Parker Sonnet 2008 ciselé carbone m'avait tapé dans l’œil (aïe, je ne savais pas alors, pauvre de moi, à quel point ça allait faire mal -des années plus tard certes, et c'est plus ma CB que mon œil qui pleure, mais tout de même-). Étudiante alors, le budget était serré et j'avais su être raisonnable (je me demande bien quand et où j'ai perdu cette qualité ? Si quelqu'un la retrouve, faites-moi signe

Mais voilà, je l'ai gardé en tête pendant des années. Et puis j'en ai découvert un autre (mince !) -un Cross Année du Dragon- que je trouvais magnifique, bien que très cher. Et puis j'en ai découvert un autre (non je n'ai pas fait un malheureux copier-coller oublié à la relecture), un Cross encore, Année du Cheval cette fois-ci (je vous laisse deviner mon année de naissance, vous avez désormais assez d'indices).
Mais je n'ai pas cédé.

Cependant, j'en ai parlé à mon compagnon.
Il a donc eu l'idée, un Noël (2016 ou 2017, j'ai un doute), de m'offrir le Précieux, celui qui m'a tant fait mal aux yeux, à rebours dans un certain sens -bien que je connaisse désormais le point d'une des extrémités, je ne sais malheureusement pas où se trouve la deuxième limite, celle de mon dernier stylo-. Je crois que, s'il avait su dans quel engrenage il m'avait mis le doigt -et la CB-, il aurait trouvé un autre cadeau... (en fait j'en suis sûre, je lui ai posé la question

Et à partir de là...
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Eh bien non, la contamination à la plumite-19 a un temps d'incubation variable selon les individus -les scientifiques n'ont toujours pas compris pourquoi d'ailleurs (peut être parce qu'ils ne cherchent pas)-. Il aura fallu attendre un autre moment décisif pour activer le virus chez moi, celui d'un autre Noël (2018), d'un autre stylo. Un Cross, célébrant mon année de naissance avec un petit cheval dessus (c'est mignon, vous ne trouvez pas ?).
Et là, les symptômes furent sans appel. Ma CB a fini en réanimation plusieurs fois, mais il semble que ce virus soit sacrément récalcitrant, à l'instar d'un de ses homologues en circulation actuellement (bien que celui-ci ait des répercussions autrement plus graves). Parker, Cross, et puis ce fut au tour des Montegrappa, Lamy, Caran d'Ache, Diplomat, Visconti, et plus récemment Sailor, Cartier (sans parler de ceux que j'attends, impatiemment, et qui viendront monter le compteur d'encore quelques points). Tellement de matières différentes, de styles, de poids, de tailles, de mécanismes !

Et puis -parce que bien évidemment un stylo seul, ce n'est pas drôle, et que ça ne pouvait pas s'arrêter là-, j'ai découvert les encres. Ça a commencé insidieusement, par une Parker, puis une Edelstein. Ensuite, j'ai découvert Les Autres. Sailor. KWZ. Diamine. Monteverde. Herbin. Montblanc. Colorverse. Lamy. Noodlers. Pilot. Etc. C'est résolument sans fin.
Et puis -parce que bien évidemment, un beau stylo avec une belle encre, c'est bien beau, mais sur du papier moleskine



Je suis sûre qu'il doit y avoir une réunion de type AA avec un siège qui porte mon nom et qui m'attend patiemment. C'est donc très naturellement que je me décide à venir ici, haut-lieu de tentations en tous genres. Logique.

Sur ce, salut ! (je m'en retourne travailler, j'ai un salaire à gagner avant de pouvoir le dépenser en plumes en tout genres

S.