Leornado Momento Zero Black Matt
Posté : 21 mai 2020 09:02
Leonardo Officina Italiana Momento Zero Black Matt
La présentation est soignée et complète : Boîte, sur-boîte, certificat de garantie, folder, convertisseur gravé à l’effigie de la marque et trois cartouches d’encre présentes dans une petite boîte de forme allongée.
Au premier coups d’oeil, on sent qu’Omas est encore bien présent dans les esprits des designers qui ont conçu ce Moment Zero.
Je voulais éviter toutes ces résines acryliques chamarrées qui inondent le marché du stylo actuellement et très présentes dans le catalogue Leonardo Officina Italia. Ce sera le black mat (la seule couleur unie dispo). Un black mat aux attributs dorés, c’est bien.
En première impression, le stylo semble de qualité, très bien fini, robuste.
Le corps est gravé « Leonardo Officina Italiana » suivi de son numéro de série. Une vraie gravure dans la masse, nette et profonde. J’aime ce type de gravure qui donne un petit plus à un stylo.
Le capuchon reçoit une agrafe à roulette comme on en voit souvent sur les stylos italiens.
Cette agrafe n’est pas très flexible et la roulette… ne roule pas.
Le cul du corps est muni d’un petit capuchon dévissable qui donne accès au convertisseur, ce qui permet de remplir le stylo sans dévisser le corps. Original mais dans le cas présent, peu pratique.
La partie visible du convertisseur n’est pas très longue et absolument lisse, ce qui n'aide pas pour prise enmain bout de doigts. En plus sur un stylo complètement opaque comment vérifier si le remplissage s’est bien dérouler ?
Pour ma part, je préfère l’accès au convertisseur par la méthode classique.
On note la forme originale de la section (qui commence après le filetage), une petite partie cylindrique suivie d’une autre tronconique pour finir sur une dernière cylindrique juste avant la plume.
La préhension est bonne et pas glissante d'ailleurs le stylo, de belle taille, est bien équilibré en main.
Avoir à côté de ses camarade de classe, Lamy 2000, Sailor 1911 Large, M800, MB 146 et Pilot 823, il ne dénote absolument pas si ce n’est que par la plume. La seule a ne pas être en or.
La plume, pour mettre un peu de caractère à l’écriture, je l’ai choisi en stub 1.1.
C’est le seul bémol de cet ensemble pourtant bien réussi. La glisse est bonne, on y trouve un légère pointe de souplesse mais parfois elle est capricieuse et oublie sa fonction première ; coucher de l’encre sur le papier. Probablement un petit réglage ou ajustement à faire (?) ... Dommage !
La présentation est soignée et complète : Boîte, sur-boîte, certificat de garantie, folder, convertisseur gravé à l’effigie de la marque et trois cartouches d’encre présentes dans une petite boîte de forme allongée.
Au premier coups d’oeil, on sent qu’Omas est encore bien présent dans les esprits des designers qui ont conçu ce Moment Zero.
Je voulais éviter toutes ces résines acryliques chamarrées qui inondent le marché du stylo actuellement et très présentes dans le catalogue Leonardo Officina Italia. Ce sera le black mat (la seule couleur unie dispo). Un black mat aux attributs dorés, c’est bien.
En première impression, le stylo semble de qualité, très bien fini, robuste.
Le corps est gravé « Leonardo Officina Italiana » suivi de son numéro de série. Une vraie gravure dans la masse, nette et profonde. J’aime ce type de gravure qui donne un petit plus à un stylo.
Le capuchon reçoit une agrafe à roulette comme on en voit souvent sur les stylos italiens.
Cette agrafe n’est pas très flexible et la roulette… ne roule pas.
Le cul du corps est muni d’un petit capuchon dévissable qui donne accès au convertisseur, ce qui permet de remplir le stylo sans dévisser le corps. Original mais dans le cas présent, peu pratique.
La partie visible du convertisseur n’est pas très longue et absolument lisse, ce qui n'aide pas pour prise en
Pour ma part, je préfère l’accès au convertisseur par la méthode classique.
On note la forme originale de la section (qui commence après le filetage), une petite partie cylindrique suivie d’une autre tronconique pour finir sur une dernière cylindrique juste avant la plume.
La préhension est bonne et pas glissante d'ailleurs le stylo, de belle taille, est bien équilibré en main.
Avoir à côté de ses camarade de classe, Lamy 2000, Sailor 1911 Large, M800, MB 146 et Pilot 823, il ne dénote absolument pas si ce n’est que par la plume. La seule a ne pas être en or.
La plume, pour mettre un peu de caractère à l’écriture, je l’ai choisi en stub 1.1.
C’est le seul bémol de cet ensemble pourtant bien réussi. La glisse est bonne, on y trouve un légère pointe de souplesse mais parfois elle est capricieuse et oublie sa fonction première ; coucher de l’encre sur le papier. Probablement un petit réglage ou ajustement à faire (?) ... Dommage !
« après le nul n’est parfait.
