Heureux évènement
Posté : 29 mai 2011 20:57
Après une période de deuil due au vol de mon Charleston, j'ai le plaisir de vous annoncer l'arrivée d'un petit nouveau : un Waterman Carène plume L.
Je n'ai donc pas résisté très longtemps mais je dois dire que j'ai profité du départ à la retraite de mon dealer local et de ses offres généreuses.
Passer d'un Van Gogh nib B et surtout d'un Sapporo nib Music à un Carène à la plume sertie dans le corps du stylo est assez déconcertant.
J'ai surtout craqué pour la beauté de l'objet, capuchon doré, corps vert bouteille, plume or.
A l'écriture, la dite plume se révèle évidemment beaucoup plus raide que celle des deux précités, surtout par rapport à la Music extrêmement "mouillante", souple et large.
J'ai cependant été étonné par la facilité de glisse, alors que le débit est beaucoup plus modéré même avec des encres (Herbin bleu nuit par exemple) qui se montraient généreuses et fluides avec le Van Gogh.
Autre étonnement, la L du Carène trace plus large que la B du Visconti. Il n'empêche qu'après deux années de pratique du Van Gogh et trois mois de Sapporo, on a un peu l'impression, avec ce type de plume, d'écrire avec un roseau qu'on aurait trempé dans de l'encre. Mais l'habitude acquise, il se révèle un outil de travail très agréable même si j'aurais souhaité un débit un peu plus généreux.
Mon prochain test sera, après l'achat d'un flacon de Sailor blue black - encre d'une fluidité étonnante en tout cas avec la Music - de la faire goûter au Carène. Je voudrais vérifier définitivement si ce débit économe constitue une caractéristique du stylo en plus de la raideur de sa plume.
Je n'ai donc pas résisté très longtemps mais je dois dire que j'ai profité du départ à la retraite de mon dealer local et de ses offres généreuses.
Passer d'un Van Gogh nib B et surtout d'un Sapporo nib Music à un Carène à la plume sertie dans le corps du stylo est assez déconcertant.
J'ai surtout craqué pour la beauté de l'objet, capuchon doré, corps vert bouteille, plume or.
A l'écriture, la dite plume se révèle évidemment beaucoup plus raide que celle des deux précités, surtout par rapport à la Music extrêmement "mouillante", souple et large.
J'ai cependant été étonné par la facilité de glisse, alors que le débit est beaucoup plus modéré même avec des encres (Herbin bleu nuit par exemple) qui se montraient généreuses et fluides avec le Van Gogh.
Autre étonnement, la L du Carène trace plus large que la B du Visconti. Il n'empêche qu'après deux années de pratique du Van Gogh et trois mois de Sapporo, on a un peu l'impression, avec ce type de plume, d'écrire avec un roseau qu'on aurait trempé dans de l'encre. Mais l'habitude acquise, il se révèle un outil de travail très agréable même si j'aurais souhaité un débit un peu plus généreux.
Mon prochain test sera, après l'achat d'un flacon de Sailor blue black - encre d'une fluidité étonnante en tout cas avec la Music - de la faire goûter au Carène. Je voudrais vérifier définitivement si ce débit économe constitue une caractéristique du stylo en plus de la raideur de sa plume.