Autopsie d'un SDF (stylo Sans Désignation de Fabriquant)
Posté : 13 déc. 2010 00:19
Eh ! Bien, voilà : ceci est le cadeau d’anniversaire dont j’ai été gratifié par mes collègues – et néanmoins amis – de notre club de photographes.
Il ne comporte aucune marque visible, hors un « O » sur le « feed » (en authentique ebonite, pardon !) et la mention « Iridium point » sur la plume.
Celle-ci semble être en acier, et a l’élégance de comporter quelques jolies arabesques en sus de son « iridium point ».
L’alimentation se fait par la grâce d’une cartouche de format international court, et vu la taille de l’engin, je crains de ne pouvoir y installer un convertisseur (« convertor » en serbo-croate).
Il devrait cependant être possible – une fois le stylo démonté – d’en installer un en vue du traditionnel nettoyage mensuel.
Le clip est en véritable plastique, d’aspect perlé et légèrement argenté (plus que mes collègues, semble-t-il), il est totalement solidaire du reste du capuchon.
À propos du capuchon, celui-ci se pose – ou plutôt s’enfonce – en force sur le corps par l’intermédiaire d’une bague cannelée de couleur blanche. Le reste du corps, d’un rouge carmin, tirant sur le magenta, est fait de résine (« précieuse » ?), et si le corps – qui fait directement office de section – a un diamètre assez confortable, on ne peut en dire autant de la longueur totale de mon étonnant « instrument d’écriture ». Et ce, d’autant plus, hélas, trois fois hélas, que l’on ne peut y installer le capuchon afin de tenter de rallonger quelque peu l’ensemble. (« post » en S-C).
Si l’inconvénient majeur de mon cadeau d’anniversaire réside essentiellement dans sa taille, on peut toutefois lui trouver un certain nombre d’avantages : légèreté (encore plus léger que mon Delta Extrema, fait de carbone et de titane), facile à planquer dans une poche, original au milieu des MB149, Paragon et autres « Emperor » (sûr d’attirer les regards…), et pas de crise cardiaque en cas de perte (le vol étant, à mon avis, grandement improbable).
Je serais tout à fait reconnaissant à celui, celle ou ceux qui pourraient m’en dire plus quant à l’auteur du « design » et de la fabrication (impeccable) de cet outil…
La prochaine fois, je vous entretiendrais d’un stylo un peu plus commun, mais fort agréable au demeurant, vraiment très beau, assez original, et d’une qualité d’écriture tout à fait remarquable, un Lamy « Persona ».

Il ne comporte aucune marque visible, hors un « O » sur le « feed » (en authentique ebonite, pardon !) et la mention « Iridium point » sur la plume.
Celle-ci semble être en acier, et a l’élégance de comporter quelques jolies arabesques en sus de son « iridium point ».
L’alimentation se fait par la grâce d’une cartouche de format international court, et vu la taille de l’engin, je crains de ne pouvoir y installer un convertisseur (« convertor » en serbo-croate).
Il devrait cependant être possible – une fois le stylo démonté – d’en installer un en vue du traditionnel nettoyage mensuel.
Le clip est en véritable plastique, d’aspect perlé et légèrement argenté (plus que mes collègues, semble-t-il), il est totalement solidaire du reste du capuchon.
À propos du capuchon, celui-ci se pose – ou plutôt s’enfonce – en force sur le corps par l’intermédiaire d’une bague cannelée de couleur blanche. Le reste du corps, d’un rouge carmin, tirant sur le magenta, est fait de résine (« précieuse » ?), et si le corps – qui fait directement office de section – a un diamètre assez confortable, on ne peut en dire autant de la longueur totale de mon étonnant « instrument d’écriture ». Et ce, d’autant plus, hélas, trois fois hélas, que l’on ne peut y installer le capuchon afin de tenter de rallonger quelque peu l’ensemble. (« post » en S-C).
Si l’inconvénient majeur de mon cadeau d’anniversaire réside essentiellement dans sa taille, on peut toutefois lui trouver un certain nombre d’avantages : légèreté (encore plus léger que mon Delta Extrema, fait de carbone et de titane), facile à planquer dans une poche, original au milieu des MB149, Paragon et autres « Emperor » (sûr d’attirer les regards…), et pas de crise cardiaque en cas de perte (le vol étant, à mon avis, grandement improbable).
Je serais tout à fait reconnaissant à celui, celle ou ceux qui pourraient m’en dire plus quant à l’auteur du « design » et de la fabrication (impeccable) de cet outil…
La prochaine fois, je vous entretiendrais d’un stylo un peu plus commun, mais fort agréable au demeurant, vraiment très beau, assez original, et d’une qualité d’écriture tout à fait remarquable, un Lamy « Persona ».
