Omas Paragon Burlwood
Posté : 14 mars 2016 16:53
Aujourd'hui est arrivé un nouveau précieux de ma marque favorite. Je l'ai acquis en pensant très fort aux gens qui sont dans l'incertitude aujourd'hui à Bologne.

Mais qu'est ce qui cache dans cette gros boite ? (la boite classique Omas)

Assez classiquement l'étui gris (il peut être différent dans des séries limitées encore plus prestigieuses comme sur le Perrier Jouet mais dans tous les cas rien d'extraordinaire, c'est seulement fait pour protéger) et un encrier Omas (là aussi c'est classiquement l'encrier noir de base sauf pour des séries plus exclusives).

Voilà c'est lui, un paragon dit "vintage" car de la taille des anciens vintages et avec l’agrafe à roulette. J'avoue ne m'être jamais habitué à la nouvelle agrafe et au cercle incrusté dans le top du capuchon. La plume est donc la plus grande de chez Omas. Il s'agit du modèle Mueler en finition or rose tiré à 60 exemplaires.
Inutile de vous montrer la plume, vous connaissez déjà tous la flessibile. La beauté n'est pas là mais dans ce celluloid particulier appelé Burlwood. Ce n'est pas mon préféré (l'arco) mais il est tout de même assez fabuleux lui aussi. Je ne sais pas si les photos par ce ciel milanais gris lui rendent justice (le smartphone à la pomme n'étant pas non plus idéal)

un test d'écriture pour finir avec les photos.


Mon avis :
- la plume flessibile est toujours incroyable. On voit bien qu'elle est souple (à mon sens et je l'ai déjà dit, elle surclasse bien des vintages que j'ai pu essayer y compris sur les waterman 52, 54 et 56 déjà très flex que j'ai pu avoir en main). Elle est aussi (et heureusement) bien juteuse. Le stylo n'ayant jamais été encré la plume est un peu brute de décoffrage, elle va se faire (je trouve d'ailleurs que c'est une caractéristique très forte sur les Omas. C'est Monsieur Mora qui m'a dit un jour "contrairement à ce qu'on prétend sur le forum, les plumes se font". J'étais dubitatif sur un modèle particulier et je l'ai pris en croyant le bonhomme. Et il avait raison ! Depuis toutes mes plumes Omas se sont faites, flessibile ou pas, contrairement aux plumes japonaises et Graf que j'ai pu avoir).
- au niveau de la prise en main je n'ai jamais caché ma préférence pour l'ogiva et le 360 mais le modèle dodécagonal n'est pas mal. En taille je préfère des modules plus épais et un peu plus long.
- l'or rose fait peut être un peu terne sur ce celluloid et un or jaune aurait été plus flatteur mais j'ai justement opté pour la discrétion. Comme certains le savent j'évite désormais soigneusement les modèles ostentatoires.
- j'avoue que ce n'est pas mon plus gros coup de coeur, ni du moment, ni chez Omas, mais je suis quand même très très content !

Mais qu'est ce qui cache dans cette gros boite ? (la boite classique Omas)

Assez classiquement l'étui gris (il peut être différent dans des séries limitées encore plus prestigieuses comme sur le Perrier Jouet mais dans tous les cas rien d'extraordinaire, c'est seulement fait pour protéger) et un encrier Omas (là aussi c'est classiquement l'encrier noir de base sauf pour des séries plus exclusives).

Voilà c'est lui, un paragon dit "vintage" car de la taille des anciens vintages et avec l’agrafe à roulette. J'avoue ne m'être jamais habitué à la nouvelle agrafe et au cercle incrusté dans le top du capuchon. La plume est donc la plus grande de chez Omas. Il s'agit du modèle Mueler en finition or rose tiré à 60 exemplaires.
Inutile de vous montrer la plume, vous connaissez déjà tous la flessibile. La beauté n'est pas là mais dans ce celluloid particulier appelé Burlwood. Ce n'est pas mon préféré (l'arco) mais il est tout de même assez fabuleux lui aussi. Je ne sais pas si les photos par ce ciel milanais gris lui rendent justice (le smartphone à la pomme n'étant pas non plus idéal)

un test d'écriture pour finir avec les photos.


Mon avis :
- la plume flessibile est toujours incroyable. On voit bien qu'elle est souple (à mon sens et je l'ai déjà dit, elle surclasse bien des vintages que j'ai pu essayer y compris sur les waterman 52, 54 et 56 déjà très flex que j'ai pu avoir en main). Elle est aussi (et heureusement) bien juteuse. Le stylo n'ayant jamais été encré la plume est un peu brute de décoffrage, elle va se faire (je trouve d'ailleurs que c'est une caractéristique très forte sur les Omas. C'est Monsieur Mora qui m'a dit un jour "contrairement à ce qu'on prétend sur le forum, les plumes se font". J'étais dubitatif sur un modèle particulier et je l'ai pris en croyant le bonhomme. Et il avait raison ! Depuis toutes mes plumes Omas se sont faites, flessibile ou pas, contrairement aux plumes japonaises et Graf que j'ai pu avoir).
- au niveau de la prise en main je n'ai jamais caché ma préférence pour l'ogiva et le 360 mais le modèle dodécagonal n'est pas mal. En taille je préfère des modules plus épais et un peu plus long.
- l'or rose fait peut être un peu terne sur ce celluloid et un or jaune aurait été plus flatteur mais j'ai justement opté pour la discrétion. Comme certains le savent j'évite désormais soigneusement les modèles ostentatoires.
- j'avoue que ce n'est pas mon plus gros coup de coeur, ni du moment, ni chez Omas, mais je suis quand même très très content !