Omas Ogiva Cocktail Blue Angel
Posté : 08 nov. 2015 15:48
Chers tous,
Voici comme promis une petite revue du Omas arrivé il y a une dizaine de jours maintenant.

La collection Ogiva Cocktail fait suite à l’Ogiva Alba sortie l’année dernière, qui comprenait elle aussi trois couleurs (violet, vert et orange) évoquant les aurores boréales.
La collection Cocktail propose trois nouvelles couleurs évoquant quant à elles trois fameux cocktails alcoolisés : Bloody Mary (rouge bourgogne), Vodka Lemon (jaune) et Blue Angel (bleu).
Comme les précédentes, chaque couleur est limité à 327 exemplaires au monde. Elles sont d’ores et déjà quasi épuisées (on en trouve visiblement encore quelques pièces en vente aux USA, et en Europe quelques Vodka Lemon). Si vous êtes intéressés et en voyez un exemplaire encore sur le marché, il ne faut pas hésiter !
La ligne reprend celle bien connue et particulièrement élégante de l’Ogiva. Le corps et le capuchon sont en résine de coton translucide. D’une taille équivalente à un M800, le stylo reste ainsi très léger (22g à vide). Il est extrêmement bien équilibré et vraiment agréable à l’usage. Corps et capuchon sont striés de rainures à la façon d'une colonne gréco-romaine. Du strict point de vue esthétique, c'est une merveille, qu'on ne se lasse pas de tourner et retourner dans sa main. Le toucher de la résine de coton est très agréable et doux, et semble se polir encore à l'usage. La translucence donne au bleu une profondeur absolument sublime qui atténue le côté demonstrator. L'intérieur se laisse deviner plus que voir, le charme des dessous chics !

Le clip très sobre et d'une ligne racée reprend le système de la petite roulette de la marque :

L'ouverture du capuchon s'orne d'un anneau à frise grecque…

… qu'on retrouve à l'extrémité de la section. Comme sur toute la ligne Ogiva et sur beaucoup de Omas, le pas de vis est situé au milieu de la section. C'est très esthétique et s'inscrit parfaitement dans la ligne exceptionnelle de ce stylo, sans pour moi tout au moins causer aucune gène à la préhension.

Grâce à la translucence du corps, le niveau de l'encre est toujours visible (ici une Kon Peki qui lui va particulièrement bien). C'est un stylo à piston, et ce piston est le seul point relativement faible de l'ensemble : sans douceur, il est assez laborieux à manœuvrer et donne une sensation de fragilité qui incite à la prudence et à la délicatesse. C'est visiblement un point récurrent chez Omas.

Le numéro de l'exemplaire est gravée sous la section, ici le 177.

Comme toujours chez Omas, le conduit est en ébonite et donne au bloc plume une élégance toute italienne.

Le stylo est aussi disponible avec une 14ct "extra flessibile". N'étant pas pas très doué en flex, je lui ai préféré la plume 18ct rhodiée, qui s'avère cependant très souple — bien plus que sur la plupart de mes stylos. C'est une F qui taille plutôt petit, douce avec ce qu'il faut de feedback, très précise et très nerveuse. C'est un vrai régal.

Un cocktail consommé sans aucune modération ces derniers jours, sans aucun effet secondaire indésirable !
Voici comme promis une petite revue du Omas arrivé il y a une dizaine de jours maintenant.

La collection Ogiva Cocktail fait suite à l’Ogiva Alba sortie l’année dernière, qui comprenait elle aussi trois couleurs (violet, vert et orange) évoquant les aurores boréales.
La collection Cocktail propose trois nouvelles couleurs évoquant quant à elles trois fameux cocktails alcoolisés : Bloody Mary (rouge bourgogne), Vodka Lemon (jaune) et Blue Angel (bleu).
Comme les précédentes, chaque couleur est limité à 327 exemplaires au monde. Elles sont d’ores et déjà quasi épuisées (on en trouve visiblement encore quelques pièces en vente aux USA, et en Europe quelques Vodka Lemon). Si vous êtes intéressés et en voyez un exemplaire encore sur le marché, il ne faut pas hésiter !
La ligne reprend celle bien connue et particulièrement élégante de l’Ogiva. Le corps et le capuchon sont en résine de coton translucide. D’une taille équivalente à un M800, le stylo reste ainsi très léger (22g à vide). Il est extrêmement bien équilibré et vraiment agréable à l’usage. Corps et capuchon sont striés de rainures à la façon d'une colonne gréco-romaine. Du strict point de vue esthétique, c'est une merveille, qu'on ne se lasse pas de tourner et retourner dans sa main. Le toucher de la résine de coton est très agréable et doux, et semble se polir encore à l'usage. La translucence donne au bleu une profondeur absolument sublime qui atténue le côté demonstrator. L'intérieur se laisse deviner plus que voir, le charme des dessous chics !

Le clip très sobre et d'une ligne racée reprend le système de la petite roulette de la marque :

L'ouverture du capuchon s'orne d'un anneau à frise grecque…

… qu'on retrouve à l'extrémité de la section. Comme sur toute la ligne Ogiva et sur beaucoup de Omas, le pas de vis est situé au milieu de la section. C'est très esthétique et s'inscrit parfaitement dans la ligne exceptionnelle de ce stylo, sans pour moi tout au moins causer aucune gène à la préhension.

Grâce à la translucence du corps, le niveau de l'encre est toujours visible (ici une Kon Peki qui lui va particulièrement bien). C'est un stylo à piston, et ce piston est le seul point relativement faible de l'ensemble : sans douceur, il est assez laborieux à manœuvrer et donne une sensation de fragilité qui incite à la prudence et à la délicatesse. C'est visiblement un point récurrent chez Omas.

Le numéro de l'exemplaire est gravée sous la section, ici le 177.

Comme toujours chez Omas, le conduit est en ébonite et donne au bloc plume une élégance toute italienne.

Le stylo est aussi disponible avec une 14ct "extra flessibile". N'étant pas pas très doué en flex, je lui ai préféré la plume 18ct rhodiée, qui s'avère cependant très souple — bien plus que sur la plupart de mes stylos. C'est une F qui taille plutôt petit, douce avec ce qu'il faut de feedback, très précise et très nerveuse. C'est un vrai régal.

Un cocktail consommé sans aucune modération ces derniers jours, sans aucun effet secondaire indésirable !