www.stylo-plume.org

Hobiecat a écrit :

Pollux a écrit :Tu y penses sérieusement ou c'est une blague (comme le laisse imaginer les " ") ?

Personnellement, je trouve plus sympa une marmotte sans fermoir, mais avec le cordon traditionnel. En plus, selon la grosseur de la marmotte roulée, un fermoir risque d'être compliqué à réaliser, non ?

L'idée c'est de fabriquer ce genre de blocage pour éviter de faire un noeud (la partie blanche).


(photo piquée sur le net)

J'ai acheté du bambou pour faire la même chose, mais le temps est un peu une denrée rare en ce moment, donc Mrs Hobie attend.

Plum73 a écrit :Très beau cadeau Serge. Tu nous présenteras ton Faggionato à l'occasion ?

Hobiecat a écrit :J'ai acheté du bambou pour faire la même chose, mais le temps est un peu une denrée rare en ce moment, donc Mrs Hobie attend.

Alain146 a écrit : Ca ne devrait poser aucun problème . Je fais un test.

jva a écrit :

borelek a écrit : Les calligraphes chinois étaient issus des classes supérieures instruites qui exerçaient une grande influence culturelle sur la société.
Hauts fonctionnaires, généraux, officiers, voire empereur, ils se consacraient à la peinture, à la poésie et à la calligraphie pendant leurs loisirs. La pratique de ces arts était pour eux une manière de se cultiver, mais aussi une forme d'autoreprésentation créative.
Dans la théorie artistique chinoise traditionnelle, l’écriture individuelle était considérée comme le "sceau du coeur". Chaque coup de pinceau exprime de manière directe et incomparable la personnalité de l'artiste et révélait son état d'esprit et son niveau d'éducation. Les grands maîtres de la calligraphie n'étaient donc pas uniquement des modèles sur le plan artistique, ils étaient aussi des modèles importants pour la société en raison de leur style de vie, de leur condition et de leurs actes. Durant leur vie ces maîtres jouissaient déjà d'une grande estime. Même les notices ou les lettres les plus banales rédigées de leur main étaient appréciées comme des oeuvres d'art, collectionnées et commercialisées à des valeurs élevées.
Ils réalisaient souvent leurs calligraphies à l'occasion de rencontres avec leurs pairs ; ils se retrouvaient lors de soirées d'artistes dans les jardins de personnages fortunés ou puissants. Ils entretenaient des correspondances, échangeaient des poèmes ou effectuaient des textes calligraphiés en guise de cadeaux. Dans la contemplation de ces oeuvres, le contenu de ces textes jouait un rôle plutôt accessoire ; ce qui comptait, c'était les qualités formelles et esthétiques
.

Excellent !
J'aime cette vision de l'écriture.
C'est un peu ce qui se passe au petit musee chaque mardi .... Quand on y pense ! ... Quelque part !

Pollux a écrit :Sympa comme idée la petite fée !

Alain, juste pour info : pourquoi y a-t-il des trous dans les objets que tu imprimes ? C'est un défaut propre aux imprimantes 3D ?

Alain146 a écrit :

jva a écrit :

borelek a écrit : Les calligraphes chinois étaient issus des classes supérieures instruites qui exerçaient une grande influence culturelle sur la société.
Hauts fonctionnaires, généraux, officiers, voire empereur, ils se consacraient à la peinture, à la poésie et à la calligraphie pendant leurs loisirs. La pratique de ces arts était pour eux une manière de se cultiver, mais aussi une forme d'autoreprésentation créative.
Dans la théorie artistique chinoise traditionnelle, l’écriture individuelle était considérée comme le "sceau du coeur". Chaque coup de pinceau exprime de manière directe et incomparable la personnalité de l'artiste et révélait son état d'esprit et son niveau d'éducation. Les grands maîtres de la calligraphie n'étaient donc pas uniquement des modèles sur le plan artistique, ils étaient aussi des modèles importants pour la société en raison de leur style de vie, de leur condition et de leurs actes. Durant leur vie ces maîtres jouissaient déjà d'une grande estime. Même les notices ou les lettres les plus banales rédigées de leur main étaient appréciées comme des oeuvres d'art, collectionnées et commercialisées à des valeurs élevées.
Ils réalisaient souvent leurs calligraphies à l'occasion de rencontres avec leurs pairs ; ils se retrouvaient lors de soirées d'artistes dans les jardins de personnages fortunés ou puissants. Ils entretenaient des correspondances, échangeaient des poèmes ou effectuaient des textes calligraphiés en guise de cadeaux. Dans la contemplation de ces oeuvres, le contenu de ces textes jouait un rôle plutôt accessoire ; ce qui comptait, c'était les qualités formelles et esthétiques
.

Excellent !
J'aime cette vision de l'écriture.
C'est un peu ce qui se passe au petit musee chaque mardi .... Quand on y pense ! ... Quelque part !

Mais c'est vrai ça ! Bien vu JVA

Alain146 a écrit :
Voilà Mrs Hobbie , le petit test . PAs de problème pour faire cela apparemment ..

Alain146 a écrit :Mais plutôt que de faire une copie de cette petite clavette , ou cheville , (comment l'appeler d'ailleurs ?) ne serait-ce pas amusant que tu en face une pièce qui t'es personnelle ? Une petite fée par exemple ou je ne sais quoi de sympa ? On te fait cela avec plaisir , dessine nous quelque chose et on l'imprime en 3d. (Gratuit bien sûr.) Dans la couleur que tu veux. En stock , blanc, vert, noir.

petitdauphinzele a écrit :Et pour les étoiles blanches perdues des MB vintages ? Serait possible ?

Alain146 a écrit :Et une nouvelle marmotte avec quelques Italiens pour Mardi prochain. Merci Mrs Hobbie , très jolie.

Alain146 a écrit :Et une nouvelle marmotte avec quelques Italiens pour Mardi prochain. Merci Mrs Hobbie , très jolie.

AL+ a écrit :En guise de petite clavette (ou cheville) je propose que Alain "imprime" un mulot