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@ Aydindril au niveau de la fiabilité de la plume et du conduit, le Custom 823 ne présente aucune faille et fait preuve d'une endurance peu commune. Le piston plunger ne présente aucune faiblesse non plus ( contrairement aux modèles occidentaux dont le mécanisme finit toujours par présenter une avarie au niveau de l’hélicoïde, allemands compris-expérience vécue-.)
durant l'écriture
A condition de l'alimenter avec une encre qu'il apprécie, de ne pas tenter de démontage sauvage, de respecter les instructions d'utilisation du stopper (de sa nécessaire ouverture pour un bon flux durant l'écriture et de sa nécessaire fermeture après utilisation pour éviter un assèchement de l'encre), alors, il vous procurera une rare sérénité d'utilisation.Le mien ne m'a jamais,jamais une seule fois fait défaut, sur quelque point que ce soit. Pensez, simplement à lubrifier avec du gel de silicone la tige du plunger de temps en temps afin de faciliter son coulissement.

En ce qui concerne la fiabilité "imbattable" des stylographes de nos amis allemands, voilà mon palmarès véridique en la matière.J'ai reçu en cadeau, à la fin des années 90 un MB 146 au fort bel aspect qui m'a a peu prés tout fait (débit erratique, assèchement du conduit, grippage de piston puis casse de l’hélicoïde et enfin en guise de bouquet final, fissures dans le corps, puis fuites inévitables et abondantes.

Plus récemment, un ravissant Pelikan M400 écailles de tortue (moderne) m'a également fait le coup de la fuite. en dépit d'un ensemble plume/conduit irréprochable. Ensuite, je me suis entiché d'un M800 totalement étanche mais au débit désastreux malgré une largeur de plume ne dépassant pas le moyen et l'emploi d'encre de la marque, un défaut récurent sur nombre d'exemplaires selon mes contacts et certains revendeurs Pelikan de mes connaissances.
Pour finir, je m'attarderai pas sur le cas d'un Lamy Studio défraichi très rapidement (plaquage en palladium évanescent et débit capricieux du conduit...)

Finalement, seuls trois stylos teutons ont su me convaincre au niveau fiabilité, les Lamy Safari, Pelikan Pelikano et le remarquable Lamy 2000, fabriqué à l'ancienne dont la tenue dans le temps et la fiabilité s'avèrent irréprochables.J'ajouterai à cette liste les allemands vintage qui, eux, méritaient totalement leur excellente image de marque.

La mythique qualité germanique, autrefois authentique est devenue une sorte de légende urbaine , de nos jours...Un magazine automobile a récemment effectué un palmarès fiabilité des différentes marques, devine qui trône aux quatre dernières places, dans l'ordre BMW, Mercedes, Seat (groupe VW) et cancre absolu et dernier du classement Audi, avec un taux de pannes alarmant, en hausse de 15% d'une année sur l'autre! Ceci rejoint d'ailleurs les études américaines et britanniques en la matière.Les allemands, contrairement aux japonais fabriquant tout en interne paient là une politique massive de recours à la sous-traitance et aux délocalisations en Europe de l'Est

Pour en revenir à nos chers instruments d'écriture seuls quatre marques ne m'ont jamais posé de souci d'aucune sorte (pour les modernes), elles se nomment Pilot/Namiki, Platinum, Sailor et Nakaya, cela se passe de commentaires.

pilotnamiki a écrit :@ Aydindril au niveau de la fiabilité de la plume et du conduit, le Custom 823 ne présente aucune faille et fait preuve d'une endurance peu commune. Le piston plunger ne présente aucune faiblesse non plus ( contrairement aux modèles occidentaux dont le mécanisme finit toujours par présenter une avarie au niveau de l’hélicoïde, allemands compris-expérience vécue-.)
durant l'écriture
A condition de l'alimenter avec une encre qu'il apprécie, de ne pas tenter de démontage sauvage, de respecter les instructions d'utilisation du stopper (de sa nécessaire ouverture pour un bon flux durant l'écriture et de sa nécessaire fermeture après utilisation pour éviter un assèchement de l'encre), alors, il vous procurera une rare sérénité d'utilisation.Le mien ne m'a jamais,jamais une seule fois fait défaut, sur quelque point que ce soit. Pensez, simplement à lubrifier avec du gel de silicone la tige du plunger de temps en temps afin de faciliter son coulissement.

En ce qui concerne la fiabilité "imbattable" des stylographes de nos amis allemands, voilà mon palmarès véridique en la matière.J'ai reçu en cadeau, à la fin des années 90 un MB 146 au fort bel aspect qui m'a a peu prés tout fait (débit erratique, assèchement du conduit, grippage de piston puis casse de l’hélicoïde et enfin en guise de bouquet final, fissures dans le corps, puis fuites inévitables et abondantes.

Plus récemment, un ravissant Pelikan M400 écailles de tortue (moderne) m'a également fait le coup de la fuite. en dépit d'un ensemble plume/conduit irréprochable. Ensuite, je me suis entiché d'un M800 totalement étanche mais au débit désastreux malgré une largeur de plume ne dépassant pas le moyen et l'emploi d'encre de la marque, un défaut récurent sur nombre d'exemplaires selon mes contacts et certains revendeurs Pelikan de mes connaissances.
Pour finir, je m'attarderai pas sur le cas d'un Lamy Studio défraichi très rapidement (plaquage en palladium évanescent et débit capricieux du conduit...)

Finalement, seuls trois stylos teutons ont su me convaincre au niveau fiabilité, les Lamy Safari, Pelikan Pelikano et le remarquable Lamy 2000, fabriqué à l'ancienne dont la tenue dans le temps et la fiabilité s'avèrent irréprochables.J'ajouterai à cette liste les allemands vintage qui, eux, méritaient totalement leur excellente image de marque.

La mythique qualité germanique, autrefois authentique est devenue une sorte de légende urbaine , de nos jours...Un magazine automobile a récemment effectué un palmarès fiabilité des différentes marques, devine qui trône aux quatre dernières places, dans l'ordre BMW, Mercedes, Seat (groupe VW) et cancre absolu et dernier du classement Audi, avec un taux de pannes alarmant, en hausse de 15% d'une année sur l'autre! Ceci rejoint d'ailleurs les études américaines et britanniques en la matière.Les allemands, contrairement aux japonais fabriquant tout en interne paient là une politique massive de recours à la sous-traitance et aux délocalisations en Europe de l'Est

Pour en revenir à nos chers instruments d'écriture seuls quatre marques ne m'ont jamais posé de souci d'aucune sorte (pour les modernes), elles se nomment Pilot/Namiki, Platinum, Sailor et Nakaya, cela se passe de commentaires.

Intéressant ton post, mais moi je vais aller à contrario de toi. Trois MB 149 dans ma rotation un de 1979 encré en MB Racing Green (depuis 6ans dans ma rotation), un de 1976 encré en MB Irish Green et un autre de 1973 encré en MB Mystery Black. Je peux laisser un 149 sans utilisation durant deux-trois semaines et il repart. J'ai aussi un 146 de 1974 et deux autres de 1986-1987 que j'ai utilisé en tant que Daily writer durant 1-2 ans avant que je ne change de stylo dans ma rotation. Les plumes sur les anciens 149 des années 50 à fin des années 70 alliées à un conduit ébonuite procurent des sensations hors pairs et très supérieurs aux plumes japonaises. Mais comme le disent souvent les Américains: "They don't make them like they used to do anymore." en dit long sur la qualité des produits actuels.Je te rejoins au niveau voiture où bmw avant 2002, mercedes avant 2000 et audi avant 2002 valaient quelque chose maintenant on paie l'effet marketing. Même mes anciens pélikan m800 d'avant 1997 et mes m1000 de 2003-2004 ne m'ont jamais déçu.

JeanB a écrit :C'est un excellent stylo, mais il n'a pas une plume d'une flexibilité supérieure à la moyenne.
Un très agréable compagnon au quotidien...

Tant que l'on utilise des encres pas trop saturées, fluide et que pour l'entretien on ne fasse des démontage et remontages intempestifs.
Peytonstreetpens en a un à vendre à un prix très abordable pour celui qui en cherche un http://www.peytonstreetpens.com/pen-mak ... n-box.html

georges zaslavsky a écrit :Peytonstreetpens en a un à vendre à un prix très abordable pour celui qui en cherche un http://www.peytonstreetpens.com/pen-mak ... n-box.html

Oui, mais attention, la plume a été retaillée par John Mottishaw en très très fine, donc ce n'est plus le 823 "tout terrain" !