Voici, avec un peu de retard, mes quelques photos de cette excellente soirée.
Georges et Terence dégustent leur excellent punch, mais n'en pensent pas moins, pendant qu'Olivier raconte les pires horreurs que rigoureusement ma mère, m'a défendu de nommer ici.
Louis présente le clou de sa collection dont je serai bien incapable de redonner le nom.
Georges ne lâche pas son verre.
Olivier, de stupeur, va bientôt tomber en avant...
Pendant ce temps-là, Terence essaie tout ce qu'il peut en ne cessant de murmurer des borborygmes incompréhensibles au milieu desquels on distingue parfois "celui-là, il me le faut...".
Georges : - Tu vois, Olivier, ça c'est un capuchon de 149 qui date du 12 décembre 1971 à midi
Olivier : - Oui, mais là...
Louis : - Et il se montait sur un corps de stylo qui à l'époque était fait en véritable résine issue du travail d'un artisan orphelin qui...
Olivier : - Oui, mais là, tu...
Georges : - Non, mais en plus, sa dent cariée le faisait souffrir, et ça se reconnaît car le capot a un petit défaut, là au fond
Olivier : - Oui, mais je m'en fous, car en fait...
Louis : - Comment ça, tu t'en fous ?
Olivier : - Non, mais là, tu me marches sur le PIED !
L'extraordinaire collection de Louis ne tient pas entièrement sur la table.
Au milieu, le rouleau de papier essuie-tout est là pour ceux qui réagissent parfois un peu trop violemment à la vue de certaines pièces.
Deux petits Kaweco d'Olivier :
Les Myu de Terence et leurs cousins :
Olivier a rangé sa collection dans une boîte que certains reconnaîtront pour avoir auparavant enfermé des objets de grande valeur... ou vendus comme tels :
Pendant ce temps, Terence, dans la solitude du calamophile, se demande si ce capuchon-là se monte sur ce stylo-ci :
Au fond, le maître des lieux contemple sa cour, qui mène une étude comparée sur les Lamborghini, les Mont Blanc et les Glock.
Georges prétend que les trois s'achètent chez M. Mora.
Eric et Thomas se demandent s'ils vont rendre tout ce qu'ils ont subtilisé.
Thomas essaie de chiper un 149 de 1965, mais Georges, toujours à l'affût, est prestement intervenu.
Au fond, Olivier raconte sa déception en visitant la société Dorcel.
Un étonnant petit stylo avec un curieux système de remplissage :
Les deux frères se sont retrouvés :
Un joli assortiment :
Un curieux Platinum Président, dont la fenêtre ne montre qu'une chemise en métal !
On tamise la lumière, on parle bas, l'artiste est au travail.
Ici, une démonstration de fabrication de joint en liège.
"Alors, il suffit de limer, comme... Non, je ne peut pas le dire, il m'enregistre ! "
Enlevage de goupille :
Démontage de Safety :
Ici, Olivier, qui a abusé du Chinon, tape à côté :
Le départ sur et sous la neige fut pour ma part plus que problématique et je mis beaucoup de temps à rejoindre mes pénates, heureusement finalement sans heurts.
À la prochaine !