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lyrane a écrit :Le the c est comme les stylos, les goûts et les couleurs..... Moi j'adore le lapsang souchong... Et quand on mange du salé avec c'est délicieux !!! Quand au nuage de lait j'aime et les anglais font de même !!! je sucre uniquement et sans lait le the à la menthe ou au citron bref le the vert ! Bon maintenant je déguste mon lapsang

D'accord pour les goûts et les couleurs ! Mon beurk copié sur jva était très subjectif, je l'accorde. Mais j'insiste sur le Darjeeling !
Les Anglais mettent du lait avec un thé corsé, Ceylan, Assam... Les amateurs de Darjeeling - le vrai, grand cru de préférence - le dégustent nature.
De la même manière, on fait un kir avec un Bourgogne Passetoutgrain, pas avec un Bâtard Montrachet !
Chut ! On va se faire gronder.

Pour l'écriture le soir avec un thé, le Wulong s'impose. Thé semi fermenté très faible en théine avec, souvent, une très très belle couleur dorée. La liqueur (le résultat de l'infusion, pas l'alcool) semble un peu plus épaisse qu'avec les autres thé, on dirait presque de l'encre !

Évidemment, ni lait ni sucre.

C'est vrai que le thé accompagne bien l'écriture. Mieux que le café qu'il vaut mieux prendre avant, histoire de la boire chaud...

nicolas a écrit :Pour l'écriture le soir avec un thé, le Wulong s'impose. Thé semi fermenté très faible en théine avec, souvent, une très très belle couleur dorée. La liqueur (le résultat de l'infusion, pas l'alcool) semble un peu plus épaisse qu'avec les autres thé, on dirait presque de l'encre !

Évidemment, ni lait ni sucre.

C'est vrai que le thé accompagne bien l'écriture. Mieux que le café qu'il vaut mieux prendre avant, histoire de la boire chaud...

Merci Nicolas.
Nous partageons les mêmes goûts en terme de thés.
Car, les Wulong (appelés thés des chirurgiens ... Et pourquoi pas des anesthésistes d'ailleurs ? - Puisqu'on peut en boire sans avoir d'absence de sommeil même après en avoir bu beaucoup) permettent de longues soirées d'écriture sans avoir le souci du sommeil après !

Bon il est vrai que ce j'écris est, de base, soporifique ... Alors, plus j'écris plus je m'endors après. Pas mal ? Non ? On ne se refait pas .

Pour les thés, je serais plutôt Pu Erh (au Gong Fu Cha) pour mes longues séance d'écriture. Mais comme avec les stylos, j'explore, je ne boit donc pas que du Pu Erh.

Il y a longtemps que je me suis couchée de bonne heure... heu non que je n'ai pas écrit un peu quoi.
Bon bref, quand j'avais le temps d'écrire... id est : pas besoin de ma sieste, pas besoin d'aller au lit avec les poules, j'aimais : écrire en écoutant un peu de musique, sur une table ou plutôt sur une installation au lit avec un album photo retourné pour avoir l'inclinaison idéale, suffisamment d'oreillers contre le mur pour être bien appuyée... Oui écrire au lit est ma tasse de thé (que j'aime wu-long parfumé ou non d'ailleurs). Mon moleskine, mon réveil à proximité pour ne pas trop entamer la nuit et un stylo (le sailor de préférence).
La musique je peux m'en passer, le thé aussi mais cette installation avec l'album photo, et les oreillers participent beaucoup au plaisir. le problème c'est que avec cette arrivée d'hiver dans le nord, l'oreiller, les oreillers, ça me donne envie de dormir. D'où l'imparfait teinté de présent, du fait d'un regret... d'une nostalgie.

Il faut que je goûte ce wulong !!! Je me passe plus volontiers de musique que de the !