www.stylo-plume.org

Je vais honnête.

Ravi d'avoir prolongé la discussion.
Perdu pour la methode.

Sinon

Outre une représentation peu lisible "tourner gauche, tourner droite", selon les références en libre choix, on peut faire ce qu'on veut...


Saturer le conduit d'encre pour ensuite aspirer de l'air... J'ai du mal. Et aurais peur de créer une bulle d'air à l'arrivée d'encre du conduit (vous savez, cette petite verue d'air, pénible à chasser qui vous pourri le débit de votre organe d'écrivain...)

Jusqu'ici (c'est à dire de ma longue expérience qui se compte en... mois) je me contantais de saturer mon conduit puis de nettoyer ma plume souillée avec mon papier absorbant préféré (celui qui est doux et qui ne peluche pas ) , rapidement et en toute discretion, de peur d'être pris en flagrant délit.

Pour l'aveu intime (et un peu plus serieux) . Je veux bien croire qu'à l'expérience je suis un bleu, mais mon côté Asperger me force à comprendre l'aspect "physique et fonctionnel" de la chose.


D'où mon questionnement sur le sujet.

(ce post à été écrit sans volonté particulière d'analogie à quoique ce soit.


Ou pas)

Merci Oliv' de reprendre la discussion.
Hormis la question du desserrage final du piston pour libérer le conduit, et pour en revenir à ma description initiale du double remplissage, au sujet duquel je suis assez satisfait de constater que je n'avais pas fantasmé, puisque les premières réponses sur ce fil confirment que certains pratiquent ainsi, je voudrais revenir sur le fait que j'ai constaté qu'il était beaucoup plus facile de desserrer le piston, avec le réservoir vide, lorsque la plume est immergée dans le flacon plutôt que de le faire à l'air libre.
Pourquoi ? Là, ça me dépasse. J'ai supposé qu'il y avait peut-être là une question de résistance appliquée par l'air ...

Oliv' a écrit : ↑26 juin 2019 23:16 Jusqu'ici (c'est à dire de ma longue expérience qui se compte en... mois) je me contantais de saturer mon conduit puis de nettoyer ma plume souillée avec mon papier absorbant préféré (celui qui est doux et qui ne peluche pas ) , rapidement et en toute discretion, de peur d'être pris en flagrant délit.

C'est aussi ma technique (avec un chiffon...). Si j'ai donné les explications plus haut, ce n'est pas pour autant que je valide les techniques présentées ici, et ça fait bien longtemps que je n'ai plus besoin d'autonomie longue durée pour des examens.

jddegap a écrit : ↑27 juin 2019 00:17 [...] j'ai constaté qu'il était beaucoup plus facile de desserrer le piston, avec le réservoir vide, lorsque la plume est immergée dans le flacon plutôt que de le faire à l'air libre.
Pourquoi ? Là, ça me dépasse. J'ai supposé qu'il y avait peut-être là une question de résistance appliquée par l'air ...

Déduction personnelle

En negligeant le phénomène de pression/décompression dans le stylo et le frottement du joint du piston par simplification.

Air vs air = difference de pression nulle
Air vs liquide = différence - capillarité du liquide.

En gros le liquide, suivant sa constante de capillarité, "aide" à tirer le piston. (mais le rend plus difficile à pousser par la même logique)

Edit: merci Hobiecat pour m'avoir rassuré. Je ne suis donc pas (totalement) fou.