Mael a écrit :Nyel a écrit :
Plus sérieusement, c'est sans plutôt les variations rapides de pressions qui peuvent être gênantes. Par exemple en avion... et là les recommandations divergent
Oui, et ça fait beaucoup pour un seul homme.
J'ai honte mais... j'ai mis un moment à comprendre.
Et puis j'ai beaucoup ri!

Oui, c'est énorme ! (mais il ne faut pas avoir honte,
ça fait partie du patrimoine culturel)
Sinon pour en revenir au sujet, je vis dangereusement en utilisant la méthode de Hobiecat : stylo quelque part dans le sac, dans une position indéterminée, et dans l'état de remplissage où ils se trouvent. A la seule condition que le capuchon soit fermé, je n'ai jamais eu le moindre problème, quel que soit le stylo. Certes, à l'exception de Parker 51, ce sont tous des modernes. Je n'ai jamais tenté avec un vintage.
Par contre, en effet, éviter de les mettre en soute. Mais pas pour la raison avancée par Hobiecat, que je souhaiterais ici corriger. Les soutes des avions sont bien pressurisées, comme le reste de la cabine. Schématiquement, le fuselage d'un avion est un gros tuyau gonflé pour simuler l'équivalent de la pression qui règne à environ 2000m d'altitude (l'avion vole à 10000m). Si on ne gonflait que la moitié du tuyau où sont assis les passagers, le plancher ferait une drôle de tête... ainsi d'ailleurs que les animaux qui voyagent en soute... Tout au plus, la température en soute peut être moins bien réglée qu'en cabine. Ne pas confondre, en revanche, avec les logements des trains d'atterrissage, qui sont aux conditions extérieures de température et de pression, avec des conséquences funestes pour les malheureux qui s'y cachent.
Non, s'il ne faut pas mettre ses stylos en soute, c'est pour qu'ils ne soient pas perdus avec les bagages....